samedi 26 décembre 2020

2021 , SOYONS FORTS !

 

 A TOUS, UNE MERVEILLEUSE ANNEE 2021...

Rêvez,

Rêvez beau, 

 Rêvez grand, 

Rêvez exceptionnel,
 
Car la Vie répond aux Ambitieux!!!
 


Ils ont perdu. Car en nous enfermant, ils nous obligent à affronter nos parts d'ombre, à regarder nos propres démons droit dans les yeux, à les soigner et à les transmuter.

Ils ont perdu. Car en nous isolant les uns des autres, ils nous encouragent à nous re-unir, à renforcer nos liens et nous reconnecter de cœur à cœur.

Ils ont perdu. Car en nous mentant effrontément, ils nous amènent à rechercher la vérité ailleurs et par nous-mêmes, donc à sortir de l'illusion.

Ils ont perdu. Car en cherchant à nous faire peur, ils nous poussent à lâcher prise, à rester centrés, confiants et connectés à notre âme.

Ils ont perdu. Car en contrôlant nos véhicules physiques, ils nous permettent d'expanser nos corps subtils et nos consciences, donc notre puissance.

Ils ont perdu. Car en voulant nous rendre malades, ils nous donnent finalement plus de temps libre, de repos et de renaissances.

Ils ont perdu. Car en essayant de nous faire disparaître dans l'obscurité, ils nous font accroître et cultiver notre Lumière intérieure.

Ils ont perdu. Car en nous coupant de Mère Nature, nous lui permettons de se nettoyer et de guérir, et nous, de méditer pour elle comme jamais.

Ils ont perdu. Car en nous manipulant pour faire de nous des esclaves, ils nous forcent à reprendre en main notre Souveraineté et notre Liberté.

Ils ont perdu. Car ce confinement est une belle allégorie de notre enfermement dans la matrice 3D, qui nous motive encore plus à ascensionner vers la 5D.

Ils ont perdu. Car en tentant de nous endormir et de nous soumettre, ils sont en train de secouer et de réveiller toute l'Humanité.

Ils ont perdu. Car en nous infantilisant, ils nous font grandir. En attaquant nos aînés et nos enfants, ils nous font rugir.

Ils ont perdu. Car en voulant nous affaiblir, ils renforcent le Guerrier de Lumière qui sommeille au fond de chacun de nous.

 Éloïse Al'Cyona

 

  🎇🎇🎇🎇🎇

  Pour vous réveiller,
vous intérioriser
 grandir,
pour réveiller le Guerrier de Lumière en Vous
faites une pause...
Et pensez à vous offrir
l'un de nos stages ou séjour ! 
Chacun de ces stages, à sa façon, en fonction de son thème
contribue à vous éveiller, vous enrichir, vous transformer...

En particulier le séjour 'Remise en Forme'


Nous vous accueillons dans un lieu préservé, sain, magique...
où Dame Nature est Reine...
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samedi 12 décembre 2020

Comment agir lorsque le doute est là?

Ami/e bien aimé/e, lorsque tu doutes de toi, de la VIE, de ce que tu saurais mettre en mouvement, et aussi des personnes qui sont sur ton chemin, n’oublie pas que ton « JE SUIS » peut te recentrer, t’offrir une réponse, une assurance… Le doute empêche d’agir… Il met de l’ombre sur tes tableaux, sur ton quotidien, sur tes qualités… Le doute est comme un ver dans une pomme, il ronge, il mène droit dans l’incertitude et la peur… Il ne peut réellement te servir, si ce n’est pour te montrer que tu doutes, que tu peux trouver d’autres manières d’être et de faire…

Lorsque tu auras compris l’entièreté des incertitudes, qui te tirent vers le bas, tu sauras alors qu’il t’est possible de lâcher les doutes, de changer ta manière de te percevoir… Tu comprendras que le doute devait te canaliser vers d’autres formes d’expressions, d’autres idées… D’ailleurs, toutes les pensées nocives ont ce rôle : te mener à d’autres pensées sur toi-même, et donc, par répercussions, sur autrui et le monde…

Tant que tu doutes de toi, les autres doutent également, tu attires les personnes qui entrent en résonance avec tes doutes, et certaines pouvant être bien intentionnées, te démontreront que tu as tort, elles te pousseront en tes doutes… C’est l’effet-retord, l’effet-miroir, l’effet-retour… Cependant, tu as de nombreuses qualités, de nombreux potentiels, qui te servent tout autant que le doute, qui peuvent t’aider à te valoriser… Le doute t’oblige à te remettre en question, à chercher une porte de sortir, à comprendre ce qui t’arrive… Il a donc un rôle qui peut être regardé sous un angle positif… Si tu doutes, si tes peurs te paralysent au point de ne pas pouvoir chercher une vraie solution, tu auras tout de même des occasions d’avancer, car la Vie est ainsi faite qu’elle ne te laisse jamais tomber… Elle t’offrira des opportunités de renforcer ta confiance, et parfois malgré les apparences, malgré ce que tu penses de toi, puisqu’il te faut évoluer…

Crois donc en la part de toi qui peut t’amener sur un terrain plus stable, et en minimisant tes inquiétudes, tu sauras créer une circonstance favorable, celle qui te donnera une plus grande confiance… Confiance et doute sont comme les deux facettes d’une même envergure ; tu as la capacité de trouver le passage intérieur entre ces deux énergies…

Pour t’aider, imagine simplement que les Anges sont toujours à tes côtés, qu’ils t’aident à puiser en toi la dynamique de VIE, qu’ils peuvent communiquer avec toi, intérieurement, l’Ange étant tout simplement un Principe Divin, associé à la Réalisation du Soi… Ne vois pas en l’Ange la puissance uniquement perçue par un sens religieux, mais plutôt comme une Energie, dynamique, jeune, propulsant vers une réalité supérieure, donnant la main en toutes circonstances… L’Ange en toi existe également… Il est le palier de conscience au-delà de l’apparence de la forme et de la matière… il sert les voies de l’âme… C’est bien par ce biais que tu te rencontreras en ta douceur, comme l’enfant se sentirait en confiance avec son protecteur bien-aimé…

Comment agir lorsque le doute est là ?... Je dis qu’il est peut-être préférable d’attendre un peu, de prolonger ta réflexion, pour ne pas agir inconsidérément ou t’obliger en une action qui ne serait pas en accord avec ton ressenti… Il est vrai que l’hésitation permet d’attendre longtemps ; tu peux utiliser ce temps de réflexion comme un moyen de te mettre en phase avec toi-même, pour que ta pensée et ta parole se placent dans le même sillage que l’acte que tu poseras… Un acte posé en conscientisant ton choix, délibéré et proche du cœur, saura toujours retrouver le chemin de ton âme, de l’amour de toi, de l’estime que tu te dois… Et ce choix sera le plus ajusté à ce que tu peux être, à ce que tu peux changer en cette période de ta vie… Agir dans une colère ou un impulsivité, ou une réactivité, ne pourra que te mener dans une impasse, ou droit dans un mur, et tu auras mal, c’est certain…

Comprends, ami/e bien-aimé/e, que tout ce que tu décides correspond à tes principes, à des paramètres internes, à des codifications de ta conscience, et ton cerveau servant de relai, il te donne les informations nécessaires à ta destinée… C’est pourquoi le doute existe, puisqu’il a aussi un rôle protecteur, un rôle canalisant une humeur, une énergie, un rôle de garde-fou… Il permet de chercher en toi l’intime conviction, l’évidence, les probabilités les plus intéressantes… Cela te permet aussi le discernement, qui s’imposera tôt ou tard…

Ainsi, ne te juge pas de douter, ne t’inquiète pas concernant ce que tu penses « devoir » faire, ou dire, ou comprendre, ton chemin comporte de belles portes, de belles prises de conscience, de belles envolées, et tu peux être fier/e de toi puisque tu avances… Le risque avec le doute est de l’entretenir, comme tu le fais avec la culpabilité ou un autre sentiment involutif, ce qui te maintient dans la victimisation… Ce sont des sentiments qui demandent empathie et bienveillance, douceur et puissance d’accueil… Je te suggère de  toujours choisir la voie de la conscientisation et de l’observation, pour éviter la victimisation, pour grandir et ouvrir un espace en toi…

Cet espace est comme une latitude d’un possible à ta portée, il te donne accès à une puissance de vérité intérieure plus ajustée aux Lois de l’équilibre et de l’harmonie… Cet espace est tout simplement un espace de ton cœur, et s’il n’était pas encore un espace de ton cœur mais un espace de mentalisation, ne le juge pas, il te sera donné d’autres belles occasions d’ouvrir tes sens, ressentir, capter, valider, et ton cœur, alors, sera de la partie, amplement et avec sincérité…. Chaque jour est une nouvelle occasion… Chaque jour te donne tes occasions… Chaque jour est un jour nouveau, prêt à t’emporter loin de tes doutes…

Ensemble, allons vers ce que tu es vraiment, au fond de toi, en ta lumineuse présence, et tu verras que les doutes avaient leurs raisons d’être… Puisses-tu relativiser chaque journée, chaque expérience, rendre grâce, développer la gratitude, ressentir qu’au fond, tu es totalement innocent/e, proche de l’Amour…

Et que dit l’Amour aujourd’hui ?... envers toi-même ?... envers tes proches ?... envers autrui ?... Quelle confiance accordes-tu à l’ensemble de ton chemin ?... Quelle confiance peux-tu instaurer, libérer, valider ?... Que te dicte ton Amour Intérieur, envers toi, tes sentiments, tes choix ?... Sois tranquille, TOUT EST UN, tu y viens, rien ne t’empêchera, rien n’arrêtera ta progression, Je m’en porte garant…

Paix en toi, en toutes et tous, partout sur la Terre…

Avec tout mon Amour, Je te bénis et bénis l’ensemble de l’humanité…

ERENA   

 

  🎇🎇🎇🎇🎇

  Si vous aussi vous êtes dans le doute, 
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samedi 21 novembre 2020

La Terre n'appartient pas à l'Homme...

Comment pouvez-vous acheter ou vendre le ciel, la chaleur de la terre ?

L’idée nous paraît étrange. Si nous ne possédons pas la fraîcheur de l’air et le miroitement de l’eau, comment est-ce que vous pouvez les acheter ?

Chaque parcelle de cette terre est sacrée pour mon peuple.

Chaque aiguille de pin luisante, chaque rive sableuse, chaque lambeau de brume dans les bois sombres, chaque clairière et chaque bourdonnement d’insecte sont sacrés dans le souvenir et l’expérience de mon peuple.

La sève qui coule dans les arbres transporte les souvenirs de l’homme rouge.

Les morts des hommes blancs oublient le pays de leur naissance lorsqu’ils vont se promener parmi les étoiles. Nos morts n’oublient jamais cette terre magnifique, car elle est la mère de l’homme rouge. Nous sommes une partie de la terre, et elle fait partie de nous. Les fleurs parfumées sont nos sœurs ; le cerf, le cheval, le grand aigle, ce sont nos frères. Les crêtes rocheuses, les sucs dans les prés, la chaleur du poney, et l’homme, tous appartiennent à la même famille.

Aussi lorsque le Grand Chef à Washington envoie dire qu’il veut acheter notre terre, demande-t-il beaucoup de nous. Le Grand chef envoie dire qu’il nous réservera un endroit de façon que nous puissions vivre confortablement entre nous. Il sera notre père et nous serons ses enfants. Nous considérons donc, votre offre d’acheter notre terre. Mais ce ne sera pas facile. Car cette terre nous est sacrée.

Cette eau scintillante qui coule dans les ruisseaux et les rivières n’est pas seulement de l’eau mais le sang de nos ancêtres. Si nous vous vendons de la terre, vous devez vous rappeler qu’elle est sacrée et que chaque reflet spectral dans l’eau claire des lacs parle d’événements et de souvenirs de la vie de mon peuple. Le murmure de l’eau est la voix du père de mon père.

Les rivières sont nos frères, elles étanchent notre soif. Les rivières portent nos canoës, et nourrissent nos enfants. Si nous vous vendons notre terre, vous devez désormais vous rappeler, et l’enseigner à vos enfants, que les rivières sont nos frères et les vôtres, et vous devez désormais montrer pour les rivières la tendresse que vous montreriez pour un frère. Nous savons que l’homme blanc ne comprend pas nos mœurs. Une parcelle de terre ressemble pour lui à la suivante, car c’est un étranger qui arrive dans la nuit et prend à la terre ce dont il a besoin. La terre n’est pas son frère, mais son ennemi, et lorsqu’il l’a conquise, il va plus loin. Il abandonne la tombe de ses aïeux, et cela ne le tracasse pas. Il enlève la terre à ses enfants et cela ne le tracasse pas. La tombe de ses aïeux et le patrimoine de ses enfants tombent dans l’oubli. Il traite sa mère, la terre, et son frère, le ciel, comme des choses à acheter, piller, vendre comme les moutons ou les perles brillantes. Son appétit dévorera la terre et ne laissera derrière lui qu’un désert.

Il n’y a pas d’endroit paisible dans les villes de l’homme blanc. Pas d’endroit pour entendre les feuilles se dérouler au printemps, ou le froissement des ailes d’un insecte. Mais peut-être est-ce parce que je suis un sauvage et ne comprends pas. Le vacarme semble seulement insulter les oreilles. Et quel intérêt y a-t-il à vivre si l’homme ne peut entendre le cri solitaire de l’engoulevent ou les palabres des grenouilles autour d’un étang la nuit ? Je suis un homme rouge et ne comprends pas. L’Indien préfère le son doux du vent s’élançant au-dessus de la face d’un étang, et l’odeur du vent lui-même, lavé par la pluie de midi, ou parfumé par le pin pignon…

L’air est précieux à l’homme rouge, car toutes choses partagent le même souffle.

La bête, l’arbre, l’homme. Ils partagent tous le même souffle.

L’homme blanc ne semble pas remarquer l’air qu’il respire. Comme un homme qui met plusieurs jours à expirer, il est insensible à la puanteur. Mais si nous vous vendons notre terre, vous devez vous rappeler que l’air nous est précieux, que l’air partage son esprit avec tout ce qu’il fait vivre. Le vent qui a donné à notre grand-père son premier souffle a aussi reçu son dernier soupir. Et si nous vous vendons notre terre, vous devez la garder à part et la tenir pour sacrée, comme un endroit où même l’homme blanc peut aller goûter le vent adouci par les fleurs des prés. Nous considérerons donc votre offre d’acheter notre terre. Mais si nous décidons de l’accepter, j’y mettrai une condition : l’homme blanc devra traiter les bêtes de cette terre comme ses frères.

Je suis un sauvage et je ne connais pas d’autre façon de vivre…

J’ai vu un millier de bisons pourrissant sur la prairie, abandonnés par l’homme blanc qui les avait abattus d’un train qui passait. Je suis un sauvage et ne comprends pas comment le cheval de fer fumant peut être plus important que le bison que nous ne tuons que pour subsister.

Qu’est-ce que l’homme sans les bêtes ? Si toutes les bêtes disparaissaient, l’homme mourrait d’une grande solitude de l’esprit. Car ce qui arrive aux bêtes, arrive bientôt à l’homme. Toutes choses se tiennent.

Vous devez apprendre à vos enfants que le sol qu’ils foulent est fait des cendres de nos aïeux. Pour qu’ils respectent la terre, dites à vos enfants qu’elle est enrichie par les vies de notre race. Enseignez à vos enfants ce que nous avons enseigné aux nôtres, que la terre est notre mère. Tout ce qui arrive à la terre, arrive aux fils de la terre. Si les hommes crachent sur le sol, ils crachent sur eux-mêmes.

Nous savons au moins ceci : la terre n’appartient pas à l’homme ; l’homme appartient à la terre. Cela, nous le savons. Toutes choses se tiennent comme le sang qui unit une même famille. Toutes choses se tiennent.

Tout ce qui arrive à la terre, arrive aux fils de la terre.

Ce n’est pas l’homme qui a tissé la trame de la vie : il en est seulement un fil. Tout ce qu’il fait à la trame, il le fait à lui-même.

Même l’homme blanc, dont le dieu se promène et parle avec lui comme deux amis ensemble, ne peut être dispensé de la destinée commune. Après tout, nous sommes peut-être frères. Nous verrons bien. Il y a une chose que nous savons, et que l’homme blanc découvrira peut-être un jour, c’est que notre dieu est le même dieu. Il se peut que vous pensiez maintenant le posséder comme vous voulez posséder notre terre, mais vous ne pouvez pas. Il est le dieu de l’homme, et sa pitié est égale pour l’homme rouge et le blanc. Cette terre lui est précieuse, et nuire à la terre, c’est accabler de mépris son créateur. Les Blancs aussi disparaîtront ; peut-être plus tôt que toutes les autres tribus. Contaminez votre lit, et vous suffoquerez une nuit dans vos propres détritus.

Mais en mourant vous brillerez avec éclat, ardents de la force du dieu qui vous a amenés jusqu’à cette terre et qui pour quelque dessein particulier vous a fait dominer cette terre et l’homme rouge. Cette destinée est un mystère pour nous, car nous ne comprenons pas lorsque les bisons sont tous massacrés, les chevaux sauvages domptés, les coins secrets de la forêt chargés du fumet de beaucoup d’hommes, et la vue des collines en pleines fleurs ternie par des fils qui parlent.

Où est le hallier ? Disparu. Où est l’aigle ? Disparu.

La fin de la vie, le début de la survivance.

ChefSeattle, 1854

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  On commence à reparler du déconfinement...
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