Liste des articles par ordre de publication:
Vive ma vieille cafetière!
Cerises : bienfaits et vertus
L'algue AFA : et si on en reparlait...
Quelques vérités sur la viande... Il faut quand même en parler!
Un petit mot sur les dattes
Le poireau: ne vous en privez-pas!
Foie gras pour Noël...?
Bananes avec des tâches? Un atout!
VACCIN ANTIGRIPPE
3 soi-disant aliments 'santé' à ne pas consommer!
Mangez-vous des pesticides?
Fraises: des propriétés qu'on ne soupçonne pas!
Le Buis, en interne comme en externe.
Quelle courge...!
Les effets de la viande rouge...
COWSPIRACY, le documentaire choc!
Le radis noir, un allié pour le foie, et plus!
Les dattes: un doux plaisir
L'alimentation crue, un mode de guérison?
Et la Pêche, vous y avez pensé?
L'été, pensez à manger de la pastèque!
Et si on mettait fin à l'élevage intensif?
Ducasse fait la révolution: il retire la viande de son menu
Envie d'une tarte aux cerises...
La boucherie végétarienne: la nourriture du futur...?
Le Thym, la plante de toutes les saisons!
Vive ma
vieille cafetière !
Je suis sûr
que votre café aura un autre goût après cette lecture ! ! !
Simplement
pour votre information et … Bonne dégustation après tout ça !
Je suis une
dosette. Je vous en fais voir de toutes les couleurs !
Le séduisant
George Clooney en use avec délectation dans un feutré, idéalisé et fantasmé.
Mes 4
grammes de café sont habillés d'une robe d'aluminium à la couleur de votre
choix chacun y trouve son café, selon son goût et son humeur.
Le paradis
au bout des lèvres, avec son arôme et surtout sa fameuse mousse !
Le
raffinement ! Le luxe à portée de tasse.
4 grammes de
café à 0,40 EUR, ça nous fait pour 1000 grammes de café 100 EUR.
Oui, 100 EUR
le kilo, c'est le prix du luxe, on ne va pas chipoter, ce serait petit.
Il faut,
bien sûr, s'en donner les moyens.
Je ne fais
pas dans la dentelle avec mes habits de lumière en aluminium.
J'ai besoin
de beaucoup d'énergie électrique fournie par de belles centrales nucléaires ou
de très efficaces centrales thermiques.
Pour 1 tonne
d'aluminium, j'offre 4 tonnes de rejets sous forme d'arsenic, de titane, de
chrome, de plomb, de vanadium, de mercure, bref, de magnifiques boues rouges
qui par exemple, grâce à une superbe canalisation terrestre de 55 km, glissent
depuis l'usine Altéo de Gardanne jusqu'à la grande bleue.
Et grâce à
un autre beau tuyau de 7,7 km, je vais me balader, tenez-vous bien, jusqu'à 320
mètres de profondeur, tout au fond du canyon sous-marin de Cassidaigne dans le
magnifique parc des calanques.
Tout ça,
donne soif, je bois comme un trou de la bonne eau locale.
J'en suis
quelque peu fier, bien sûr, même si mes amis chinois et brésiliens font
beaucoup mieux !
Maintenant,
je vous invite à faire un petit tour dans la tasse : Avec mes 1 000 tonnes de
café par semaine, je suis le roi du marché !
Je fais ce
que je veux. Je prends toutes les origines de café au cours le plus bas du moment.
Je te mélange tout ça au mieux (au mieux financier, bien sûr).
De toute
façon, je m'en sortirai toujours grâce aux arômes ajoutés.
Vous savez
bien, cette petite note de noisette si subtile !
Pour la
torréfaction, je suis le champion : 1000°C en 90 secondes quand les autres
(traditionnels) font avec 200/220 ° en 20 minutes. Et toc, bingo !
Le pompon,
c'est la mousse qui persiste plusieurs heures quand les autres ne tiennent que
quelques minutes.
Là, la
recette est secrète. Je vous en dis un peu, pas tout, juste un peu : un chouia
de graisse animale, des additifs top secret, et c'est joué.
D'une
manière générale, je me débrouille plutôt bien pour qu'on se souvienne de moi,
car, malgré quelques tentatives poussives et gourmandes en énergie et en eau,
je ne suis presque pas recyclé.
Comme ça,
vous pouvez me retrouver un peu partout sur la planète.
J'aime bien
les vortex océaniques, ça marche du tonnerre !
Franchement,
"y'a photo" face, par exemple, aux petits producteurs du réseau
"équitable" (pour ne parler que de ceux-là, car il y a bien d'autres
petits producteurs qui ne font pas partie de ce réseau).
Ils disent,
qu'eux vendent 20 EUR le kilo les grands crus de café d'Éthiopie, de
Madagascar, du Pérou, d'Équateur, du Honduras…
Ils disent
aussi que, grâce au "réseau équitable", ils ont un toit, une dignité
et qu'ils peuvent envoyer leurs enfants à l'école afin qu'ils soient instruits
et qu'ils aient un meilleur avenir...
Mais,
ont-ils vraiment besoin de lire, d'écrire, de calculer et de réfléchir alors
qu'on le fait pour eux ?
Ah,
j'oubliais !... J'ai aussi le record du plus grand taux de Furane.
Là, ne
m'applaudissez pas car il arrive qu'on batte des records sans réelle volonté.
Une
recherche sur internet vous apprendra que le Furane est une substance organique
(produit intermédiaire utilisé dans l'industrie chimique comme solvant pour les
résines lors de la production de laques et comme agglomérant dans la fonderie).
Volatile,
lipophile et cancérigène
pour le foie, le furane double
de quantité lorsque le café ingéré provient de capsules plutôt que d'une
cafetière classique, selon les scientifiques de l'université de Barcelone.
CAPSULES DE
CAFÉ NESPRESSO : UNE DOSE DE CANCER À CHAQUE FOIS !
C’est à prendre
ou à laisser !
INFORMEZ
VOS JEUNES et tous les autres ! !
Cerises: bienfaits et vertus
Rien ne rappelle autant l’été que des cerises fraîches gorgées de soleil. Elles
sont extrêmement riches en nutriments et regorgent de bienfaits et vertus santé.
Ce délicieux petit fruit rouge regorge d'antioxydants, de fibres et s'avère
peu calorique! Il permet également de mieux prévenir diverses maladies, dont le
diabète et certains types de cancer.
La cerise, le plus sucré des fruits rouges, et aussi le plus énergétique,
est plutôt bien pourvue en apports nutrionnels :
-
quantités
non négligeables de calcium, de fer et de cuivre, taux de magnésium modéré, de
même que sa teneur en soufre et en chlore ;
-
grand nombre
d’oligo-éléments (zinc, manganèse, nickel, fluor, iode, cobalt, sélénium,
etc.).
-
éventail
vitaminique très large : vitamine C, provitamine A (ou carotène) , et toutes
les vitamines du groupe B.
Ses bienfaits ?
1. Soulager les douleurs articulaires
La riche couleur rouge de la cerise vient des anthocyanines, antioxydants
également présents dans le raisin et le vin. Ces antioxydants sont riches en
bienfaits et inhibent la formation d’enzymes associées à l’inflammation; par
conséquent, ils pourraient contribuer à soulager les douleurs musculaires et
articulaires.
2. Protéger le côlon
Ce petit fruit renferme également de la quercétine, un flavonoïde exerçant
une activité anti-cancérigène. Les résultats d’une étude publiée récemment dans
le Journal of Nutrition indiquent qu’elle contribue à prévenir la
formation, dans le côlon, de lésions susceptibles de se transformer en tumeurs.
3. Réguler le taux de cholestérol
La cerise est riche en pectine, fibre soluble qui fait baisser le taux de
«mauvais» cholestérol, contribuant ainsi à prévenir la cardiopathie.
4. Favoriser la vue
La cerise acide renferme 19 fois plus de bêta-carotène que le bleuet. Cette
substance, qui est un précurseur de la vitamine A, contribue à une bonne vision
et à la santé de la peau.
5. Faciliter le sommeil
Cette proche cousine de l’abricot, de la pêche et de la prune est l’une des
rares sources alimentaires de mélatonine, hormone intervenant dans la
régulation du cycle circadien de l’organisme et favorisant le sommeil.
6. Riche en fibres
Les cerises sont riches en fibres et permettent ainsi de calmer la faim.
Pour 100 grammes de cerises, vous obtiendrez 1.6 gramme de fibres. En
collation, combinez les cerises avec une source de protéines, comme un yogourt
par exemple, pour contrer vos rages de sucre.
7. Peu caloriques
Malgré son goût savoureux, la cerise ne compte que très peu de calories.
Pour 100 grammes de cerises, il ne faut compter que 50 calories.
8. Prévenir le cancer
Riche en anthocyanine et en cyanidine, la cerise permettrait
également de mieux prévenir l’apparition de certains types de cancer, notamment
des cancers de la bouche et des poumons.
9. Prévenir la goutte
Une étude soutient que le fait de consommer des cerises pouvait aider
à prévenir l’apparition de la goutte de près de 35%.
10. Prévenir le diabète
Si de plus amples recherches doivent encore être faites auprès
d’humains, une étude scientifique effectuée sur des rats soutient que les
cerises acides pourraient aider à mieux prévenir l’apparition du diabète.
L'algue AFA: et si on en reparlait...
D’après les nombreuses études qui ont été faites sur
cette algue merveilleuse poussant à l’état sauvage dans le sud de l'Oregon (États-Unis), on peut dire qu'il s'agit d'un des aliments les plus
complet de la planète.
Les propriétés exceptionnelles de l'algue Klamath,
s'explique peut-être déjà par le lieu où elle croît : le lac « Upper
Klamath », une grande étendue d'eau (325 km2) alimentée exclusivement par
l'eau de source provenant des volcans environnants, à la jonction de 3 plaques
tectoniques, dans le creuset d’un ancien glacier, à une altitude de 1400
mètres.
Situé dans un immense parc naturel, il est protégé de
toute pollution industrielle. Le fond du lac est formé d’une couche
sédimentaire de plus de 10 mètres qui s’est formée au fil des millénaires,
extrêmement riche en minéraux. Ce sont ces minéraux qui seraient responsables
de la forte croissance, en surface, de l’algue bleue, ou Aphanizomenon
flos-aquae (AFA) selon sa terminologie scientifique.
Il est entre autre situé juste au nord du mont Shasta,
un volcan qui culmine à 4317 m d'altitude (que l'on aperçoit sur la plupart des
photos), bien connu des milieux ésotériques et alternatifs (il serait un haut
lieu d'énergies "cosmo-telluriques").
La situation privilégiée du lac Klamath confère à ses
eaux une grande richesse en minéraux volcaniques et en oxygène. Il bénéficie
d'un ensoleillement intense, qui permet à l'algue de développer d'importantes
propriétés photosynthétiques. Ses caractéristiques géographiques et géologiques
en font un écosystème unique, faisant partie d'une zone naturelle protégée,
propice au développement d'AFA.
Cette
microalgue unicellulaire d'eau douce a un profil nutritionnel très complet et à
haute biodisponibilité. On retrouve notamment dans sa composition :
-
Les 14 vitamines : B1,
B2, B3, B5, B6, B8, B9, B12, A, C, E, F, J, K.
-
Plus de 60 minéraux et oligoéléments
identifiés :
-
Sels
minéraux: calcium, magnésium, phosphore, potassium, sodium.
- Oligo-éléments:
bore, chlore, chrome, cobalt, cuivre, étain, fer, fluor, germanium, iode,
manganèse, molybdène, nickel, sélénium, silice,
titane, vanadium, zinc.
- 13 protéines, 5
nucléotides
- Tous les acides
aminés essentiels, semi-essentiels et la plupart des acides aminés
non-essentiels.
- Des nucléoprotéides, structures de base de l'ADN et ARN.
- Des nucléoprotéides, structures de base de l'ADN et ARN.
- De nombreux
peptides, dont les neuropeptides qui renforcent et réparent les cellules
nerveuses.
- Tout un spectre d'hormones végétales ; de pigments oxygénant et antioxydants, précurseurs des vitamines, des enzymes et coenzymes.
- Tout un spectre d'hormones végétales ; de pigments oxygénant et antioxydants, précurseurs des vitamines, des enzymes et coenzymes.
- 15 caroténoïdes ;
du bêta carotène (provitamine A) - l'algue Bleue en contient dix fois plus que
les carottes ; de la lutéine, zeaxanthine, du Lycopène et de l'aphanine,
un caroténoïde unique à cette espèce.
- De la chlorophylle, les algues en
possèdent le taux le plus élevé de tous les aliments
connus. Sa capacité de stocker
l'énergie solaire. En outre, sa grande ressemblance avec l'hémoglobine lui a
valu le nom de sang végétal.
- De la phycocyanine, proche des
pigments biliaires humains, ce pigment bleu, qui protège l'algue de l'insolation, est
un puissant anti-inflammatoire et antioxydant.
- Une grande concentration en acides
gras essentiels AG omégas 3 et 6, principaux constituants de nos membranes
cellulaires, les graisses polyinsaturées représentent l'étanchéité de nos
cellules, fortifient nos veines et nos artères, luttent contre l'hypertension,
préviennent les accidents cardio-vasculaires et de nombreuses autres maladies.
- Des Polysaccharides, les algues
bleues renferment quelques polysaccharides, le plus souvent liés à d'autres
composés pour former des macromolécules. En outre, suivant les espèces, elles
renferment des formes qui leur sont propres. Ses principaux glucides sont:
MANNOSE, RHAMNOSE, RIBOSE, GALACTOSE, GLUCOSE, FUCOSE, XYLOSE, ARABINOSE. Leurs formules originales s'apparentent
généralement à ces derniers, et jouent un rôle capital dans la fixation et
l'élimination de nombreux agents contaminants comme les métaux lourds et les
pesticides, ainsi que dans la stimulation des macrophages.
- Des polyphénols,
- Ainsi que des molécules spécifiques
algales telles que mycosporine-like aminoacids (MAAs) [mycosporines
algales], AFA–phycocyanines (AFA–PCs), β–phényléthylamine (PEA).
Avec plus de 115
micro-nutriments, l’algue Afa représente l’aliment le plus complet de la
planète
Et voici les différents bienfaits répertoriés avec une consommation
régulière de l’algue AFA :
Régule le métabolisme, stimule la digestion, entretient et nourrit les
articulations, améliore la qualité des phanères (peau, ongles, cheveux),
protège le système cardio-vasculaire, renforce les défenses immunitaires,
empêche la réplication des virus, lutte contre les radicaux libres, protège de
toutes les formes de pollutions, accroît la résistance aux phénomènes radiants,
combat l'inflammation, stimule la régénération cellulaire, soutient et accélère
les processus d'autoguérison, améliore les performances intellectuelles
l'activité mentale, la concentration et la mémoire, diminue le stress physique
et émotionnel, augmente et améliore l'énergie à long terme.
Ainsi, l’AFA a des effets sur :
Problèmes gastro-intestinaux, rhumatismes, problèmes cardio-vasculaires,
hypercholestérolémie, hypertension, hypotension, fibromyalgie, arthrites,
colites, obésité, dépression, acouphènes, traumatismes crâniens, déficit
d'attention, enfants hyperactifs, troubles de la mémoire, fatigue chronique,
diabète, hypoglycémie, problèmes cutanés, asthme, allergies, rhume, grippe,
empoisonnements aux métaux lourds, pollutions électromagnétiques, hépatites,
infections virales, Alzheimer, Parkinson, stress, vieillissement et
dégénérescence cellulaire, dysfonctionnements endocrines, mauvaise immunité,
épilepsie, sclérose en plaques, myasthénie, dégénérescence maculaire de la
rétine, cataracte, pression intra-oculaire, glaucome, cancer, sida,
récupération de l'organisme et accélération de la guérison en cas de traitement
médicamenteux (trithérapie, chimiothérapie, antibiothérapie, anxiolytiques
...).
Il faut toutefois garder à l'esprit que
ces données relèvent d'observations personnelles, qu'elles n'ont pour la
plupart pas fait l'objet de recherches approfondies et que certaines concernent
des cas isolés.
Encore plus d'infos sur notre site
Quelques vérités sur la viande... Il faut quand-même en parler!
Autrefois l'apanage des pays riches, la consommation de viande ne cesse de
se démocratiser et d'augmenter dans le monde. L'élévation du niveau de vie dans
les pays en voie de développement amplifie les effets déjà catastrophiques,
mais peu évoqués, d'une surconsommation de viande non soutenable et inutile
dans les pays dits développés.
Entre 1950 et 2000, la consommation de
viande au niveau mondiale a été multipliée par 5 alors que la population a "seulement" doublé. Une tendance qui
devrait se confirmer vu l'élévation du niveau de vie dans de nombreux pays.
En moyenne, un être humain consomme 100 g de viande par jour. Dans les pays
développés, la consommation est supérieure à 200 g par jour alors que dans les
pays en développement elle est de 47 g, avec de fortes disparités régionales.
Comme de nombreux pays dits "développés", c'est à partir des
trente glorieuses (1945-1975) que la consommation de viande en France a explosé
jusqu'à devenir biquotidienne dans de nombreux foyers. Dans le même temps, la
consommation des produits traditionnels de base (légumineuses, céréales,
tubercules) a diminué.
Toutefois, la consommation totale de viande en France stagne depuis 1998,
malgré un rebond en 2010.
En moyenne, un Français mange près de 89 kg de viande par an (contre 81,9
kg en moyenne dans l'Union européenne), soit plus de 240 g par jour : c'est
l'équivalent de plus de 6 tranches de jambon ! Cela représente, pour notre pays,
l'abattage de 1,1 milliard d'animaux par an (entre 60 à 130 milliards à
l'échelle mondiale).
Une pression sur la surface agricole disponible

C'est pourquoi, selon les prévisions de l'Organisation des Nations Unies
pour l'Alimentation et l'Agriculture (FAO), il serait nécessaire de doubler la
production agricole d'ici à 2050. En effet, pour produire un kilo de viande, il faut 7
kilos de céréales. Pour
répondre à cette demande, il est possible d'augmenter la surface des terres
cultivées, mais à quel prix ? Déforestation, monocultures intensives,
utilisation de pesticides, d'OGM, destruction d'écosystèmes et perte de
biodiversité...
Ainsi, l'élevage extensif et le soja exporté comme aliment du bétail sont
la première cause de la déforestation selon Alain Karsenty, économiste au
Centre de coopération internationale pour le développement et expert auprès de
la Banque mondiale. Après une enquête de 3 ans publiée en juin 2009, Greenpeace
affirme que l'élevage bovin est responsable à 80% de la destruction de la forêt
amazonienne...
L'Union Européenne, dont la superficie des forêts augmente, est le 4e
importateur de bovins derrière les USA, la Russie, et le Japon et 80% de ses
importations proviennent d'Amérique du Sud. Or, la France est le premier
consommateur européen de viande bovine. Ainsi la consommation de viande en
Europe et en France est une cause de la déforestation en Amérique du Sud.
Surfaces de sol nécessaires par aliment
De plus, la production animale entre maintenant en concurrence avec les
agrocarburants et bientôt les bioplastiques dans l'utilisation des surfaces agricoles.
Au total, 30 % de la surface agricole utile dans le monde est utilisée pour
produire de la viande (80 % aux Etats-Unis) alors qu'à surface égale, les
cultures produisent 10 à 15 fois plus de protéines que la production de viande.
Un petit mot sur les dattes...
Comme tous les fruits,
les dattes contiennent des vitamines, en particulier des vitamines A, B1, B2,
B3, B5. Ces fruits sont riches en minéraux, notamment en potassium, magnésium
et fer. Les dattes vous donneront une recharge d’énergie par sa teneur en
glucose, fructose et saccharose. Leur consommation est privilégiée chez les
sportifs et personnes âgées.
La présence de fibres et
d’acides aminées dans ce fruit favorise la digestion. C’est un régulateur du
transit intestinal et un aliment laxatif.
Fraîches, elles sont
riches en anti-oxydant, grâces à des dérivés de la carotènoïde (béta-carotène
et provitamine A). Cela favorise la construction de défenses immunitaires.
Sèches, la phase de déshydratation fait perde une partie de cette propriété.
Avec 50 grammes de
dattes, soit 6 à 8 fruits, vous nourrissez vos muscles avec l’apport de
glucides (96% de l’aliment en contient). Avec cette quantité de fruits, vous
fournissez à votre corps 10% de ses apports journaliers recommandés en
minéraux. Mais également un quart du besoin quotidien en fibres alimentaires.
Une étude, menée par des
chercheurs du centre médical technologique de Rambam, en Israël, mentionne une
association fructueuse entre les dattes et le jus de grenade pour lutter contre
le cancer. Ces scientifiques ont étudié les cellules artérielles de souris avec
un fort taux de cholestérol. L’administration d’un cocktail de jus de grenade
et de dattes (fruits et graines) ont fait chuter le stress oxydant sur les
parois artérielles et le cholestérol artériel. Cette étude révèle une
combinaison des plus protectrices pour le coeur.
L’association de ces
fruits prévient l’apparition de plaques de cholestérol sur les parois des
artères et donc de l’athérosclérose, selon les scientifiques au Technion. Bien
que riche en sucre, les chercheurs n’ont observé aucune hausse du taux de
glycémie (ou taux de glucose) dans le sang.
Quand les déguster ?
Entre les repas,
quelques dattes vous donneront un regain d’énergie. Elles sont faciles à
manipuler et à transporter. Cependant, elles peuvent servir d’encas au goûter
si vous les préparez en compote, sans avoir à les cuire, juste à mixer. Leur
texture en fait un aliment simple à réduire en une sorte de purée. Vous pouvez
écraser six à huit dattes et ajouter quelques amandes. Elles s’associeront tout
autant à des purées de sésames ou de noisettes.
Le poireau : ne vous en privez pas !
Le poireau est riche en fibres, vitamines, sels minéraux, oligo-éléments et
anti-oxydants. Composé de 90 % d’eau et faible en calories, on le
recommande dans les régimes amincissants.
Les fibres : 3,2 g par 100 g, elles favorisent le
bon fonctionnement du transit intestinal et préviendraient ainsi du cancer du
côlon. La présence d’une quantité importante de mucilage et de cellulose,
explique son action bénéfique dans l’intestin qu’il nettoie et lubrifie.
Le poireau contient des composés soufrés protecteurs qui lui donnent sa forte odeur lorsqu’on le coupe.
Le poireau contient des composés soufrés protecteurs qui lui donnent sa forte odeur lorsqu’on le coupe.
Les vitamines : Provitamine
A Bêta-carotène :
(60 µg/100 g) essentielle pour la santé, la vitamine A joue également
un rôle important dans la vision au niveau de l’adaptation de l’œil à
l’obscurité, elle participe également à la croissance des os, à la régulation
du système immunitaire. Vitamine B6 aussi appelée pyridoxine : elle est
essentielle car notre organisme ne sait pas la fabriquer et joue un rôle de
cofacteur dans un grand nombre de processus liés au métabolisme des acides
aminés et des protéines.
Vitamine B9 ou Folate : (95 µg/100 g cru et
54,5 µg/100 g cuit) Elle joue un rôle essentiel dans la fabrication
de toutes les cellules de notre corps, dont la production de notre matériel
génétique, le bon fonctionnement du système nerveux et immunitaire. Les folates
jouent également un rôle dans le processus de division cellulaire.
Vitamine C : (17 mg/100 g/cru
4,15 mg/100 g cuit) le rôle que joue la vitamine C dans l’organisme
va au-delà de ses propriétés antioxydantes. Elle contribue aussi à la santé des
os, des cartilages, des dents et des gencives. De plus, elle protège contre les
infections, favorise l’absorption du fer contenu dans les végétaux et accélère
la cicatrisation
Les oligo-éléments : Cuivre : en tant que constituant de plusieurs enzymes, il
est nécessaire à la formation de l’hémoglobine et du collagène (protéine
servant à la structure et à la réparation des tissus) dans l’organisme.
Plusieurs enzymes contenant du cuivre contribuent également à la défense du
corps contre les radicaux libres.
Fer : (0,75 mg/100 g/cru et inférieur
à 0,7/100 mg cuit), toutes les cellules de notre corps sont composées de
fer. Il est essentiel au transport de l’oxygène et à la formation des globules
rouges dans le sang et joue un rôle important dans la fabrication de nouvelles
cellules, des hormones et des neurotransmetteurs.
Les minéraux : Calcium : (27,4 mg/100 g/cru et
25,3 mg/100 g cuit), joue aussi un rôle important dans la coagulation
du sang, le maintien de la pression sanguine et la contraction des muscles,
dont le cœur.
Phosphore : (32,9 mg/100 g/cru et
20 mg/100 g cuit) considéré comme le deuxième minéral le plus
abondant de l’organisme après le calcium. Il joue un rôle important pour le
maintien de la santé des os et des dents.
Potassium : (281 mg/100 g/cru et
148 mg/100 g cuit), important pour la croissance et l’entretien des
cellules. Indispensable au système nerveux et à la contraction musculaire normale
- y compris le muscle cardiaque. Le potassium est également un électrolyte qui
aide à équilibrer les fluides du corps humain, important pour maintenir une
bonne pression artérielle.
Zinc : (0,218 mg/100 g/cru et inférieur à
0,2/100 mg cuit) joue un rôle important dans le cadre des réactions
immunitaires, de la fabrication du matériel génétiques, de la cicatrisation des
plaies et du développement du fœtus.
Les antioxydants, comme les flavonoïdes et les caroténoïdes ainsi
que des composés soufrés protecteurs à l’action antioxydante. Les antioxydants
permettent de neutraliser les radicaux libres du corps jouant ainsi un rôle de
prévention contre les maladies cardiovasculaires et certains cancers.
En outre poireau contient des saponines
(molécules qui servent probablement aux plantes de substances défensives, en
particulier contre les agressions microbiennes et fongiques), et des
saponégines, substances qui auraient les facultés de réduire le cholestérol
sanguin et lui conférerait également des propriétés antifongiques et anti-cancer.
Et pour terminer, le poireau est antifongique, antiseptique, diurétique et laxatif.
Et pour terminer, le poireau est antifongique, antiseptique, diurétique et laxatif.
Alors il ne faut pas s’en priver…
Foie gras pour Noël...??
« Depuis le temps que JE HURLE, non seulement contre l’insoutenable martyre
des canards et des oies – animaux sensibles et intelligents – dans les
fermes de gavage, mais aussi et surtout contre les consommateurs de foie gras
qui, par leur gourmandise perverse, perpétuent dans une indifférence totale
cette honteuse coutume envers des animaux prisonniers… cette fois ça bouge
enfin !
Pour faire pression, comme chaque année à Noël, les dénonciateurs du gavage des oies et canards ont manifesté devant des grands restaurants. Mais cette fois, le résultat de leur action a été différent de celui des années précédentes. La nouveauté, c'est que Joël Robuchon et Alain Ducasse ont craqué. Ils n'ont pas appelé la police, mais publié des communiqués, l'un annonçant qu'il renonçait à son fournisseur de foie gras, l'autre qu'il s'engageait à vérifier les accusations de L214, cette petite association qui a pris pour nom celui d'une série d'articles du code rural existants dont le premier précise que "tout animal étant un être sensible doit être placé par son propriétaire dans des conditions compatibles avec les impératifs biologiques de son espèce”.
Johanne Mielcarek une des responsables de L214 se réjouit : “La télé parle enfin de nos enquêtes, nous ne sommes plus pris pour des dingues !” Autre signe : le Comité interprofessionnel des palmipèdes à foie gras (CIFOG) a reconnu être “peut-être allé trop loin”. Les militants de L214 avaient bien visé. L'un d'eux a filmé, à l'intérieur des locaux de la société Ernest Soulard, en Vendée, ces milliers de canards coincés dans des petites cages et gavés à la pompe hydraulique (2 kg de pâtée de maïs injectés en quelques secondes). Un enfer de bêtes blessées, avec un taux de mortalité énorme, loin de l'image du palmipède gentiment gavé à la main, la tête entre les cuisses de la fermière…
L'association L214 révèle que les grands étoilés de la capitale qui vantent le terroir à des prix astronomiques s'approvisionnent en fait dans ces usines immondes ! Face à la panique, la filière (dont les ventes baissent depuis 2011) a fait son mea culpa et a promis de défendre les petits fermiers. Il était temps, puisque 88 % de la production provient de chaînes de gavage industriel de plus de 1 000 cages…
Cette très symbolique querelle du foie gras résume tous les aspects du débat
qui monte sur les souffrances des animaux d'élevage. Les producteurs de foie
gras se défendent en rappelant que l'engraissement du foie est naturel chez les
oiseaux migrateurs et qu'il s'agit d'une activité traditionnelle en France.
Mais leurs usines à gavage multiplient par 10 le poids du foie, au point de
rendre tellement difficile la respiration des bêtes que certaines meurent
d’étouffement ou d’arrêt cardiaque. Ni les oiseaux migrateurs, ni nos aînés
dans les campagnes, n'ont jamais atteint ces chiffres épouvantables.
La grande honte, c'est qu'il existe un foie gras naturel, avec label “bio”, mais qu'il est espagnol ! En Estrémadure, la société La Pateria de Sousa élève des oiseaux en liberté pour un foie gras naturel, vrai produit de luxe vendu à 400 €/kg (et ce n’est pas encore assez cher selon moi !). Elle a été primée en 2006 par le Salon de l'alimentation de Paris. Éleveurs de France, ne nous dites pas qu'on ne peut pas produire autrement sans courir à la ruine !
Double honte française : les cages individuelles étant interdites par l'Europe
depuis 1999, les usines à foie gras, chez nous, avaient demandé un sursis, le
temps de développer des “alternatives au gavage”… Mais pendant tout ce temps,
les producteurs se sont surtout ingéniés à renforcer, par l'industrialisation,
leur politique de baisse des prix, ruinant ainsi les petits élevages
artisanaux…
D'où la question – y a-t-il un bon élevage ? – qui divise les défenseurs des
animaux entre ceux qui, comme L214, militent pour l'interdiction du foie gras
et ceux qui prônent le Label rouge, garantie de vie “normale” pour les
palmipèdes. Les producteurs, eux, font profil bas parce que leurs conseillers
en communication leur ont expliqué qu'ils ne pouvaient plus se contenter de tourner
en ridicule les “zamis-des-zanimaux”.
Longtemps, en effet, les lobbies de la bidoche industrielle, fous de tauromachie, sacrificateurs halal et aristos de la chasse à courre pouvaient se moquer des mémères de la SPA et rhabiller Brigitte Bardot en mégère d'extrême droite. Ils ont désormais face à eux un tout autre front allant de Charlie Hebdo à la fine fleur de la philosophie française. Peu avant le coup d'éclat de L214 sur le foie gras, une pétition d'intellectuels qui n'ont pas l'habitude de signer ensemble (dont Elisabeth de Fontenay, Michel Onfray, Alain Finkielkraut, Luc Ferry, Jacques Julliard, Danièle Sallenave, André Comte-Sponville) demandait que le Code civil ne considère plus l'animal comme un “bien meuble” et qu'il lui donne le statut d'être vivant et sensible.
Longtemps, en effet, les lobbies de la bidoche industrielle, fous de tauromachie, sacrificateurs halal et aristos de la chasse à courre pouvaient se moquer des mémères de la SPA et rhabiller Brigitte Bardot en mégère d'extrême droite. Ils ont désormais face à eux un tout autre front allant de Charlie Hebdo à la fine fleur de la philosophie française. Peu avant le coup d'éclat de L214 sur le foie gras, une pétition d'intellectuels qui n'ont pas l'habitude de signer ensemble (dont Elisabeth de Fontenay, Michel Onfray, Alain Finkielkraut, Luc Ferry, Jacques Julliard, Danièle Sallenave, André Comte-Sponville) demandait que le Code civil ne considère plus l'animal comme un “bien meuble” et qu'il lui donne le statut d'être vivant et sensible.
Aujourd'hui, il n'y a donc plus que deux positions tenables : celle qui remet
purement et simplement en cause la légitimité de l'élevage et celle, plus
consensuelle, qui prône un “élevage éthique assurant une bonne vie et une bonne
mort” à l'animal.
Mais, quelle que soit l'option choisie, il faut en finir avec le mangeur de viande qui ne supporte pas de savoir ce qui a été fait à la bête. »
Michel Dogna
La banane est pleine de nutriments, de vitamines, de
fibres, d’antioxydants et de sucres entièrement naturels, comme le saccharose
et le fructose et de vertus qui permettent de renforcer votre système
immunitaire, d’améliorer votre digestion et de traiter et prévenir plusieurs
maladies et troubles de santé.
Selon une recherche menée à l’Université de
Tokyo, les bananes qui ont beaucoup de taches noires contiennent plus de
TNF-alpha, et sont 8 fois plus saines et plus efficaces pour booster le système
immunitaire que les bananes vertes
En plus des tâches brunes et leurs qualités de
renforcement du système immunitaire, les bananes ont un certain nombre d’autres
avantages pour la santé. Ainsi, manger 2 bananes par jour serait bénéfique
pour :
1) Les brûlures d’estomac
Les bananes agissent comme un antiacide naturel et permettent
d’apaiser votre estomac, de soulager les douleurs et de prévenir les reflux
gastriques.
2) L’hypertension artérielle
D’après une étude menée par l’Université de Médecine
de Kasturba, en Inde, manger 2 bananes par jour pendant une semaine aide à diminuer
le niveau de la pression artérielle de 10%. Son efficacité vient de sa
richesse en potassium, qui aide à réduire l’hypertension et à booster le
fonctionnement du cœur.
3) Donne de l’énergie
Manger une banane ou deux avant une séance
d’entraînement ou pendant vous donne assez d’énergie pour une heure ou
plus. Grâce à sa forte teneur en vitamines (C, B6 et B9), en minéraux
(potassium, magnésium, cuivre et fer) et en glucides, la banane apporte à
l’organisme une quantité importante de nutriments dont il a besoin pour bien
fonctionner. Consommée régulièrement, elle permet de lutter contre la fatigue
et d’améliorer les performances physiques et cognitives.
4) Les ulcères
Grâce à son effet antibactérien et sa capacité à
réduire l’acidité gastrique, elle permet de renforcer la paroi de l’estomac et
de réduire considérablement l’inflammation.
5) L’anémie
Riche en fer (100 g contiennent 0,3 mg de fer), elle
permet d’augmenter la production d’hémoglobine et renforce l’approvisionnement
en sang, donc prévient l’anémie
6) La dépression
Grâce à sa richesse en tryptophane, une protéine qui
est convertie par le corps en sérotonine (hormone du plaisir et du sommeil), la
banane aide à lutter contre la dépression et les sautes d’humeur.
7) La Constipation
Si vous êtes constipé, mangez quelques bananes.
Elles ont assez de fibres pour stimuler la régularité des selles et
fournir un soulagement naturel pour la constipation.
8) Les Nerfs ou PMS
Lorsque vous vous sentez déprimé et stressé, mangez
une banane. Elles aident à réguler la glycémie et sont riches en vitamines
B, qui calme naturellement le système nerveux et rend les gens détendus, ce qui
entraîne une amélioration de l’humeur générale,
9) Le syndrome prémenstruel
Sautes d’humeur et envies subites de sucre sont
deux symptômes très courants avant ou pendant les règles. Pour vous aider à
améliorer et stabiliser l’humeur, ainsi que réguler votre taux de glycémie,
choisissez une banane bien mûre. Sa richesse en vitamine B6 vous aidera à
passer plus sereinement cette période du mois.
10) La température corporelle
C’est un fruit rafraîchissant, manger une banane vous
aidera à réduire la température de votre corps en cas de fièvre ou de
grosse chaleur. Elle est aussi conseillée aux femmes pendant la grossesse et la
ménopause, afin de réguler leur température et réduire les bouffées de chaleur.
ATTENTION:
Plus une banane est mûre, plus l’amidon qu’elle
contient se transforme en sucre. Elle est donc à consommer avec modération par
les personnes souffrant de diabète.
VACCIN ANTIGRIPPE
Si vous connaissez quelqu’un
qui envisage un vaccin contre la grippe cette année, montrez-lui ceci !!
Le verdict est tombé sur
le vaccin contre la grippe. De nombreux experts médicaux reconnaissent
maintenant qu’il est plus important pour vous et votre famille de vous protéger
du vaccin contre la grippe que de la grippe elle-même.
Chaque
année, l’industrie pharmaceutique, les experts médicaux et les médias grand
public travaillent dur pour nous convaincre de nous faire vacciner
contre la grippe.
Mais on ne
nous dit pas toute l’histoire.
Ce que nous
n’entendons pas, ce sont les cas d’effets indésirables ou les produits
chimiques toxiques que l’on nous injecte.
11 raisons pour lesquelles les vaccins contre la
grippe sont plus dangereux qu’une grippe
1. En fait le
vaccin contre la grippe rend malade pour commencer
Avez-vous déjà
remarqué comment les enfants vaccinés tombaient malades, presque immédiatement
après une vaccination? C’est parce que le virus de la grippe est introduit dans
le corps. Alors plutôt que de vacciner, le vaccin contre la grippe sensibilise
seulement le corps contre le virus. Et le fait qu’il rende des personnes
malades après la vaccination indique une immunosuppression (suppression
médicale du système immunitaire).
2. Les vaccins
antigrippaux contiennent d’autres ingrédients dangereux tels que le mercure
L’industrie
pharmaceutique, les experts médicaux et les grands médias sont sincères en nous
disant que les vaccins contre la grippe contiennent des souches du virus de la
grippe. Ce qu’ils sont moins susceptibles de nous révéler, c’est la longue
liste des autres ingrédients qui viennent avec le vaccin. On sait désormais que
les vaccins contre la grippe contiennent du mercure, un métal lourd connu pour
être dangereux pour la santé humaine. La toxicité du mercure peut causer la
dépression, perte de mémoire, maladies cardiovasculaires, problèmes respiratoires,
problèmes de santé bucco-dentaire, déséquilibres digestifs et d’autres
problèmes de santé graves.
3. Le vaccin
contre la grippe peut causer la maladie d’Alzheimer
Maintenant,
des preuves indiquent que les vaccins contre la grippe peuvent causer la
maladie d’Alzheimer. Des recherches menées par le Dr Hugh Fudenberg,
spécialiste en immunologie, montrent que ceux qui font régulièrement le vaccin
contre la grippe augmentent leur risque d’avoir la maladie d’Alzheimer par 10.
Il croit que cela est dû à la combinaison toxique de l’aluminium et du mercure
dans le vaccin. En outre, le fait de le faire à une personne âgée (qui avec
l’âge va naturellement avoir un système immunitaire plus faible) ne fera
qu’augmenter ses chances d’avoir cette maladie.
4. Les mêmes
personnes qui poussent à se faire vacciner contre la grippe se font des
milliards de dollars chaque année
En Août 1999,
le Comité sur la réforme du gouvernement a lancé une enquête sur la politique
fédérale de vaccination. Cette enquête a porté sur d’éventuels conflits
d’intérêt de la part de la Food and Drug Administration (FDA) et les Centers
for Disease Control and Prevention (CDC). L’enquête a conclu que de nombreuses
personnes siégeant dans les deux principaux comités consultatifs avaient des
liens financiers avec les compagnies pharmaceutiques qui fabriquent les
vaccins. Souvent, on a accordé des dérogations à ces personnes pour participer
pleinement aux discussions qui ont abouti à des recommandations en matière
d’homologation des vaccins et de vaccins pour l’immunisation des enfants. Ce
qui en soi crée de sérieux doutes quant à la réelle efficacité des vaccins
contre la grippe.
5. Manque de
preuves réelles alors que même les jeunes enfants bénéficient de vaccins contre
la grippe
51 études impliquant
260 000 enfants âgés de 6 à 23 mois ont établi qu’aucune preuve que le vaccin
contre la grippe n’était plus efficace qu’un placebo. En outre, les vaccins
contre la grippe ne protègent que contre certaines souches du virus ce qui
signifie que vous pouvez encore facilement attraper la grippe si vous entrez en
contact avec une souche différente du virus.
6. Le vaccin
vous rend plus sensible à la pneumonie et à d’autres maladies contagieuses.
Pour quelqu’un
qui a un système immunitaire déjà affaibli, l’injection de souches du virus de
la grippe peut avoir des conséquences dévastatrices. Si votre corps est déjà au
travail pour lutter contre un virus ou qu’il fonctionne simplement avec une
faible immunité, l’injection d’un vaccin pourrait l’exposer gravement à
contracter la grippe avec des symptômes plus forts, ou encore pire la pneumonie
et d’autres maladies contagieuses.
7. Troubles
vasculaires
La recherche
médicale montre que les vaccins contre la grippe sont associés à un risque
accru d’inflammation vasculaire. Les symptômes comprennent notamment la
fièvres, des douleurs de la mâchoire, des douleurs musculaires, des douleurs et
des raideurs dans le cou, les bras, les épaules et les hanches et des maux de
tête.
8. Les enfants
de moins de 1 an courent un risque
Les enfants de
moins de 1 an sont très vulnérables à une violation du centre nerveux sensible
qui entoure le cerveau et le système nerveux central. Le premier vaccin contre
la grippe est administré à l’âge de 6mois. Un enfant de moins de 1 manque de
protection pour se prémunir contre une détérioration prématurée de la barrière
hémato-encéphalique.
9. Risque
accru de narcolepsie
Il y a eu des
dizaines de cas signalés d’enfants dans 12 pays différents qui ont développé la
narcolepsie (un trouble du sommeil chronique) après avoir reçu le vaccin contre
la grippe. L’étude, qui eut lieu entre Octobre 2009 et Décembre 2011, a comparé
3,3 millions de Suédois vaccinés avec 2,5 millions de personnes qui n’ont pas
été vaccinées. Le risque a été jugé plus élevé chez les plus jeunes qui se sont
fait vacciner. Pour les moins de 21 ans, le risque de contracter la narcolepsie
était trois fois plus élevé.
10. Il
affaiblit les réactions immunologiques
Il ya eu des
milliers d’articles de revues médicales qui ont publiées que les vaccins
conduisent à des réactions immunologiques nocives et une foule d’autres
infections. En outre, les réponses immunologiques affaiblissent et diminuent la
capacité d’une personne à combattre les maladies que le vaccin était censé nous
protéger.
11. Troubles
neurologiques graves
Des preuves
indiquent maintenant que les ingrédients qui sont dans les vaccins contre la
grippe peuvent effectivement causer des troubles neurologiques graves. En 1976,
un nombre important de ceux qui ont reçu le vaccin contre la grippe on eu le
syndrome de Guillain-Barré (SGB), une affection caractérisée par des lésions
nerveuses permanentes et même la paralysie. Les vaccins antigrippaux peuvent
contenir de nombreux composants nocifs, y compris des détergents, du mercure,
du formaldéhyde et des souches de virus vivant de la grippe.
Source: whydontyoutrythis.com
3 soi-disant aliments "santé" que vous devez arrêter de consommer
(si vous voulez un corps mince et en bonne santé)
J’ai lu récemment une statistique dans un livre de nutrition qui
risque de vous choquer…
Avant de vous donner les statistiques, gardons à l’esprit un fait
important… d’après un auteur de renommée mondiale en nutrition Michael Pollan,
et son fabuleux livre appelé "In Defense of
Food", l’humanité a toujours consommé environ 80 000 espèces
différentes de plantes comestibles, d’animaux et de champignons, et environ 3
000 de ces aliments ont été généralisés dans l’alimentation humaine.
Maintenant, préparez-vous à une statistique choquante et révoltante…
Actuellement, la moyenne des adultes consomment environ 67% de
leur apport calorique total à partir de seulement 3 aliments – le
maïs, le soja et le blé (et leurs dérivés).
Quelles quantités de maïs, soja et blé pourraient être considérées comme
raisonnablement saines dans l’alimentation des humains ? Si l’on se base
sur 10 milliers d’années d’histoire de l’humanité et sur ce qu’a été
l’alimentation naturelle de nos ancêtres (sachant que notre système digestif
est toujours programmé dans ce processus), cela serait de l’ordre MAXIMUM de 1%
à 5% de notre total calorique en maïs, soja et blé.
Considérant que les humains actuels mangent 67% de ce total calorique
provenant de ces sources… Vous pouvez voir pour quelles raisons nous avons des
problèmes de santé et de surpoids importants !
Ce n’est pas une surprise si nous avons autant d’intolérances et
d’allergies, spécialement au soja et au blé (ainsi que l’intolérance au
gluten)… le système digestif humain n’a simplement jamais été conçu pour
consommer ces substances en quantités si MASSIVES.
Gardez à l’esprit que ces niveaux élevés de maïs, soja, et blé dans notre
régime alimentaire d’humain sont un phénomène relativement nouveau résultat de
la recherche de profits en milliards de dollars des industries du
maïs, soja et blé. Tout EST une question d’argent… PAS notre santé !
Sont considérés comme "produits dérivés" du maïs, soja
et du blé les additifs alimentaires tels que :
Le sirop de maïs riche en fructose (SMRF)
L’huile de maïs
L’huile de soja (hydrogénée ou raffinée)
La protéine de soja
La farine de blé raffinée
Des centaines d’autres additifs alimentaires tels que la maltodextrine,
l’amidon de maïs ou de blé, la lécithine de soja, les mono et diglycérides,
etc, etc
Cela ne me surprend pas… considérant la quantité de soda ou autres boissons
sucrées (avec de SMRF) que boivent certaines personnes en moyenne tous les
jours… C’est BEAUCOUP de calories provenant de seulement 1 seul dérivé du
maïs. Même les vinaigrettes et autres sauces pour salades, le ketchup, les
différents pains, et une 100ène d’autres aliments contiennent du SMRF
!
Pensez également au nombre d’aliments transformés que nous avons et qui
sont frits dans l’huile de soja ou de maïs… et même si les aliments ne sont pas
frits dans ces huiles ce sont des additifs de presque tous les aliments
transformés… les chips, les bonbons, les gâteaux, les vinaigrettes, les sauces
tomates, les galettes de burritos, les chips de maïs, le poulet pané, etc, etc.
Il s’agit de BEAUCOUP de calories provenant de ces 2 dérivatifs de maïs et de
blé… tous les deux sont EXTREMEMENT MALSAINS !
En plus de cela, pensez à la façon dont beaucoup de pains, céréales, pâtes,
gâteaux et autres produits dérivés du blé sont hautement transformés et que la
plupart des gens consomment tous les jours. Encore une fois il s’agit d’un TAS
de calories pauvres en nutriments,
de substances malsaines, de stimulateurs
de la glycémie, dont plus de la moitié de la population a un certain
degré d’intolérance de toute façon.
Cela devient même pire !
Non seulement nous mangeons 67% de notre apport calorique total provenant
du maïs, du soja et du blé… mais à cause de l’économie concernée (en
particulier avec le maïs et le soja à bas prix), nous nous nourrissons aussi
d’animaux élevés pour la plupart avec du maïs, du soja et du
blé… augmentant de cette façon la quantité présente dans notre organisme.
Les 2 pires exemples de cette mauvaise gestion flagrante de notre
approvisionnement alimentaire sont probablement la façon dont les poulets et
les vaches d’élevages industriels sont nourris.
Les vaches sont nourries essentiellement de maïs dans les fermes
d’engraissement même si leur système digestif est uniquement destiné à manger
de l’herbe et autres fourrages. Cela rend les vaches malades, modifiant les
acides gras oméga-6 et oméga-3 vers un niveau malsain, et diminue également les
graisses saines CLA qui sont présentes naturellement dans les viandes bovines
élevées en pâturage. Tous ces problèmes disparaissent si nos vaches sont
nourries avec ce qu’elles sont supposées manger – de l’herbe !
Nos poulets sont également nourris de maïs et de soja pour la plupart et
surpeuplés dans des enclos serrés, dans des conditions épouvantables… alors que
les poulets sont destinés à errer en extérieur et manger un mélange de légumes
verts, insectes, vers, graines, etc. Quand les poulets sont gardés à
l’intérieur dans des cages serrées et nourris uniquement de grains cela produit
une viande malsaine et des œufs moins sains à la consommation par
rapport à des poulets élevés en liberté.
Mais cela ne s'arrête pas là...
Mais cela ne s'arrête pas là...
Même les saumons et autres poissons d’élevage sont nourris avec du maïs et
du soja… encore une fois dû à l’économie. Quelle stupidité étant donné que les
poissons sont destinés à une alimentation diversifiée de petits poissons, vers,
insectes, etc. Ceci rend une fois de plus l’élevage de ces poissons
malsain par rapport à leurs homologues sauvages.
Ainsi, même lorsque vous mangez du poulet, du bœuf et du poisson, votre
corps absorbe encore plus de maïs, de soja et de blé… sachant que les vaches,
les poulets et les poissons d’élevage en ont consommé principalement.
C’est donc en fait PIRE que juste 67%, n’est-ce pas !
Pourquoi est-ce si malsain de consommer les 2/3 de nos calories provenant
du maïs, du soja et du blé ?
Et bien, cette section pourrait inclure tout un livre, alors pour faire
court je vais juste vous donner quelques raisons aléatoires…
Modifie le ratio d’acides gras oméga-6/oméga-3 dans notre alimentation à
30:1, lorsqu’un ratio de 1:1 à 2:1 est considéré comme sain. Ce déséquilibre
provoque une inflammation massive dans votre corps, ce qui est une des
principales causes de nombreuses maladies, le cancer et même la prise de poids.
Augmente les problèmes d’intolérance au gluten -- et liée à
la consommation excessive de blé qui sévit de nos jours, combinée avec des
protéines de gluten étrangères et formées à partir d'hybridation des cultures
de blé.
Problèmes de prise de poids, de
fluctuation de la glycémie, ainsi qu’une réduction de la sensibilité à
l’insuline (et progressivement au diabète) dû à la consommation
excessive de maïs et farines de blé, ainsi que de sirop de maïs. Remarque
importante : l'amidon de blé (oui même le soi-disant "blé complet")
est un type unique et problématique de glucide appelé amylopectine-A. Des
tests ont démontré que l'amidon fait monter votre glycémie PLUS HAUT que du
sucre de table... provoquant des déséquilibres hormonaux, des envies, un
prédiabète et le gain de poids... Aïe !
Le soja et le maïs sont les cultures les plus génétiquement modifiées (plus
de pesticides et herbicides sont utilisés et sont habituellement
xénoestrogènes, provoquant la perturbation des hormones chez les femmes, des
seins chez les hommes, et ce que l'on peut appeler de "la graisse tenace
abdominale" pour les deux sexes).
Les produits de soja et les dérivés contiennent un double problème de
xénoestrogènes ainsi que de phyto-oestrogènes… créant à nouveau un
environnement favorable au stockage des graisses dans votre corps, des effets
cancérigènes, et même la formation de "seins" chez l’homme dans
des cas très graves.
Et la liste pourrait s’allonger encore et encore…
Par Mike Geary - Spécialiste de la nutrition certifié
Conclusion ?
Mangez des fruits et des légumes locaux, de saison, frais, sains, bio ou issus
de culture raisonnée…
Mangez-vous des pesticides ?
L'inquiétant
effet cocktail des pesticides sur nos cellules
Ingérés
ensemble, certains produits chimiques deviennent extrêmement nocifs pour la
santé.
Manger cinq
fruits et légumes par jour est bon pour la santé. Ce qui l'est moins, c'est le
"cocktail" de pesticides ingéré par la même occasion : le mélange de
ces substances chimiques peut démultiplier leurs effets toxiques dans des
proportions aussi surprenantes qu'inquiétantes, selon les résultats d'une étude
préliminaire publiée, vendredi 3 août, dans la revue scientifique "PloS
One".
Les tests
toxicologiques systématiques menés dans le cadre du règlement européen Reach
ciblent les substances une par une. "On en sait très peu sur leurs effets
combinés, alors que nous sommes littéralement entourés de combinaisons de
poisons", explique l'auteur principal de l'étude, le toxicologue Michael
Coleman, de l'Université d'Aston, en Angleterre.
Son équipe a
comparé l'effet isolé et l'impact combiné sur des cellules de notre système
nerveux central, de trois fongicides fréquemment rencontrés sur les étals des
primeurs, le pyriméthanil, le cyprodinil et le fludioxonil.
Résultat : les
dommages infligés aux cellules sont jusqu'à vingt ou trente fois plus sévères
lorsque les pesticides sont associés. "Des substances réputées sans effet
pour la reproduction humaine, non neurotoxiques et non cancérigènes ont, en combinaison,
des effets insoupçonnés", résume l'un des auteurs de l'étude, le
biologiste moléculaire Claude Reiss, ancien directeur de recherche au CNRS et
président de l'association Antidote Europe.
"On
observe l'aggravation de trois types d'impacts", détaille le chercheur
français, "La viabilité des cellules est dégradée ; les mitochondries,
véritables batteries des cellules, ne parviennent plus à les alimenter en
énergie, ce qui déclenche l’apoptose, c'est-à-dire l'autodestruction des
cellules ; enfin, les cellules sont soumises à un stress oxydatif très
puissant, possiblement cancérigène et susceptible d'entraîner une cascade
d'effet".
Parmi les
conséquences possibles de telles agressions sur les cellules, les chercheurs
citent le risque d'une vulnérabilité accrue à des maladies neurodégénératives
comme Alzheimer, Parkinson ou la sclérose en plaques. "Notre étude porte
sur un petit nombre de substances, elle apporte plus de questions que de
réponses, mais ces effets ont été mis en évidence à des doses très faibles des
concentrations proches de celles trouvées dans nos aliments", souligne le
professeur Coleman.
Le scientifique
estime urgent de généraliser ce type de tests, malgré les milliers de
combinaisons possibles : "Cela permettrait de déterminer si les mélanges
sont nocifs, pour aider les agriculteurs à choisir les produits qu'ils
utilisent". Le fait de mener ces études sur des cellules humaines, et non
sur des souris, comme c'est le cas dans la procédure Reach, permettrait de
limiter les délais et les coûts, tout en rendant les résultats plus fiables.
"La plupart des substances chimiques ne sont pas testées correctement :
nous ne sommes pas de rats de 70 kg !" peste Claude Reiss.
Pour le
Mouvement pour le Droit et le Respect des Générations Futures (MDRGF), qui a
cofinancé l'étude, ces tests sont d'autant plus nécessaires qu'un tiers des
fruits et légumes contrôlés par la Direction générale de la concurrence de la
consommation et de la répresson des fraudes contiennent les résidus de
plusieurs pesticides.
"En 2008,
nous avions relevé sur une même grappe de raisin les trois produits testés par
le professeur Coleman", rappelle François Veillerette, porte-parole du
MDRGF. A l'époque, des analyses commandées par l'association avaient révélé que
la quasi-totalité des raisins vendus en grande surface contenaient de multiples
pesticides, totalisant huit substances différentes par grappe en moyenne.
L'association
appelle la Commission Européenne à "lancer sans tarder une stratégie
d'évaluation globale des mélanges de produits chimiques" et à
"abaisser significativement les limites maximales de résidus tolérés dans
les aliments, dans un souci élémentaire de précaution".
Le Monde, 8 août 2012
Fraise : des propriétés qu’on ne soupçonne pas !
Nous devons la fraise à Amédée
François Frézier. Bien que ce fruit soit apparu à l'Antiquité, c'est cet
ingénieur militaire, explorateur et navigateur qui découvrit (en 1714) la
fraise telle que nous la connaissons aujourd'hui. C'est lors d'un de ses
voyages en Chili, qu'il rapporta 5 plants de ce fruit blanc et gros. L'une de
ces plantations donna naissance à la fraise.
En hiver, ce fruit appartenant à la famille des Rosacées est importé de l'hémisphère Sud ou d'Israël tandis qu'en mars, il vient d'Espagne.
La production de fraises françaises commence réellement en mai pour se terminer en novembre.
Il existe plus de 600 variétés de fraises ! Parmi les plus connues, nous avons : l'Anabelle (très sucrées), la Ciflorette (très parfumées), la Charlotte (avec une belle couleur de rouge), la mara des bois (goût proche de la fraise des bois) et la gariguette (petite mais savoureuse).
La fraise est fragile, une fois lavée, vous devez les consommer le jour même.
En hiver, ce fruit appartenant à la famille des Rosacées est importé de l'hémisphère Sud ou d'Israël tandis qu'en mars, il vient d'Espagne.
La production de fraises françaises commence réellement en mai pour se terminer en novembre.
Il existe plus de 600 variétés de fraises ! Parmi les plus connues, nous avons : l'Anabelle (très sucrées), la Ciflorette (très parfumées), la Charlotte (avec une belle couleur de rouge), la mara des bois (goût proche de la fraise des bois) et la gariguette (petite mais savoureuse).
La fraise est fragile, une fois lavée, vous devez les consommer le jour même.
Ses Bienfaits :
·
Faible teneur calorique
La fraise est tout d'abord très peu calorique (30 kcal pour 100 g). C'est l'un des fruits les plus pauvres en calories. Sa teneur en sodium, en graisses et en protéines est aussi très faible.
La fraise est tout d'abord très peu calorique (30 kcal pour 100 g). C'est l'un des fruits les plus pauvres en calories. Sa teneur en sodium, en graisses et en protéines est aussi très faible.
· Réduction des risques de problèmes de santé :comme tous les fruits et légumes, la fraise diminue
le risque des maladies cardiovasculaires, des maladies chroniques, et de
certains cancers.
· Flavonoïdes : antioxydants qui servent à protéger l'organisme mais aussi à lutter
contre les radicaux libres. Les flavonoïdes ont pour principale propriété de
prévenir le cancer notamment celui de l'oesophage (selon une étude américaine
datant de 2011).
·
Bêta-carotène : la couleur rouge de
la fraise indique une richesse en bêta-carotène. Ce composé aide entre autres à
préparer au bronzage, et à le prolonger.
·
Acide ellagique : bien que la framboise soit plus riche en acide
ellagique, la fraise en contient aussi. L'acide ellagique appartient à la
famille des polyphénols (le thé vert en contient aussi) et permet de prévenir
les accumulations de gras dans les artères, et donc réduit le risque de
développer des maladies cardiovasculaires.
·
Anti-cancer : la fraise contient de la quercétine, antioxydant qui
permet aux cellules cancéreuses de se détruire elles-mêmes et de nombreux
autres antioxydants notamment la lutéine et la zéaxanthine qui sont des
désactivateurs de radicaux libres. Cela est bénéfique pour prévenir certains
cancers.
·
Vitamine C : la fraise contient 2 fois plus de vitamine C que
l'orange ou le citron (pour le même poids) !
Nous avons tous besoin de consommer de la vitamine C car c'est une vitamine qui ne peut pas être produite par notre organisme. Cette vitamine, aussi appelée acide ascorbique, est soluble dans l'eau et donc très vite éliminée dans les urines, ce qui permet le bon fonctionnement de notre organisme et stimule nos défenses immunitaires.
Il est donc recommandé aux personnes souffrant de goutte ou d'arthrite de consommer régulièrement ce fruit car elles pourront mieux évacuer l'excès d'acide urique de leur corps.
La vitamine C est également un excellent antioxydant qui a un rôle de protection contre le cancer de l'oesophage, du pancréas et de l'estomac.
Cette vitamine protège aussi contre l'exposition des rayons UV du soleil qui peuvent abîmer l'oeil. Donc grâce à sa forte dose, elle protègera les yeux !
Les experts préconisent de consommer 110 mg de vitamine C par jour. Sachez qu'à peine 175 g de fraises couvrent déjà ces besoins !
Nous avons tous besoin de consommer de la vitamine C car c'est une vitamine qui ne peut pas être produite par notre organisme. Cette vitamine, aussi appelée acide ascorbique, est soluble dans l'eau et donc très vite éliminée dans les urines, ce qui permet le bon fonctionnement de notre organisme et stimule nos défenses immunitaires.
Il est donc recommandé aux personnes souffrant de goutte ou d'arthrite de consommer régulièrement ce fruit car elles pourront mieux évacuer l'excès d'acide urique de leur corps.
La vitamine C est également un excellent antioxydant qui a un rôle de protection contre le cancer de l'oesophage, du pancréas et de l'estomac.
Cette vitamine protège aussi contre l'exposition des rayons UV du soleil qui peuvent abîmer l'oeil. Donc grâce à sa forte dose, elle protègera les yeux !
Les experts préconisent de consommer 110 mg de vitamine C par jour. Sachez qu'à peine 175 g de fraises couvrent déjà ces besoins !
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Fibres alimentaires: si vous rencontrez des problèmes au niveau du tube
digestif, la fraise sera votre alliée.
Ce fruit est constitué de 2 sortes de fibres : les premières (pectines) sont des fibres solubles tandis que les secondes (lignines) sont des fibres insolubles. Elles ont toutes deux un rôle complémentaire: les fibres solubles servent à diminuer la glycémie après un repas et les fibres insolubles favorisent le transit intestinal et jouent un rôle important contre la constipation.
Ce fruit est constitué de 2 sortes de fibres : les premières (pectines) sont des fibres solubles tandis que les secondes (lignines) sont des fibres insolubles. Elles ont toutes deux un rôle complémentaire: les fibres solubles servent à diminuer la glycémie après un repas et les fibres insolubles favorisent le transit intestinal et jouent un rôle important contre la constipation.
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Diabète : les fibres évoquées précédemment aident à combattre
le diabète de type 2. Elles ralentissent l'absorption des sucres par le sang,
donc les personnes souffrant de diabète peuvent consommer ce fruit rouge.
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Santé prénatale : les médecins recommandent aux femmes enceintes de
consommer des vitamines du complexe B, notamment le folate (vitamine B9) qui
est favorable au développement du cerveau, du crâne et de la moelle épinière du
bébé (quand il se trouve encore dans le ventre de la mère).
Or les fraises constituent une bonne source de vitamine B9. Elles sont donc favorables à la femme enceinte et au futur bébé.
Or les fraises constituent une bonne source de vitamine B9. Elles sont donc favorables à la femme enceinte et au futur bébé.
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Anti-caries : la fraise prévient la formation de caries grâce à sa
teneur en xylitol.
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Anti-inflammatoire : la fraise réduit l'inflammation des articulations et
régularise la tension artérielle.
·
Régularise la pression artérielle par sa forte teneur en potassium, micronutriment
favorisant la santé du cœur (153 mg par portion de 100).
LE BUIS, à utiliser en interne comme en externe
L’action du buis est extraordinaire, aussi bien en usage interne qu’externe. Dans les
très rares ouvrages de phytothérapie où l’on en fait mention, on indique,
souvent assez vaguement qu’il « passe » pour avoir telle propriété, qu’il «
posséderait » telle vertu. Ces réserves et ce conditionnel démontrent tout
simplement que les auteurs de tels propos n’ont jamais tenté l’expérience du
buis car leur prudence aurait fait place à une attitude autrement affirmative.
En interne,
il donne des résultats remarquables dans les cas de fièvres intermittentes,
d’angiocholite pourtant réfractaire à la quinine, une action de drainage
sur les voies biliaires et intestinales, des propriétés
cholagogues, fébrifuges, sudorifiques.
L’histoire raconte que durant la première guerre mondiale, le docteur H. Leclerc, alors qu’il était blessé, grelottant de fièvre, que sa blessure s’était infectée et qu’il n’y avait rien pour le soigner, avait demandé qu’on lui fasse bouillir une poignée de feuilles de buis dans un litre d’eau, décoction – à laquelle il trouva un affreux, et qu’il absorba dans le moins de temps possible, ce qui provoqua une abondante transpiration, et le sauva.
Voilà donc déjà une utilisation possible de buis, après ébullition
prolongée (10 à 15 minutes) de 40 g de feuilles. Cela se boit en l’espace
d’une heure à une heure et demie, et, avec le concours de couvertures,
bouillottes, etc., la transpiration ne tarde pas à survenir.
En cas de grippe, refroidissement, infection quelconque, un
résultat favorable est le plus souvent assuré.
Parfois, il suffit de prendre ce litre de décoction dans le courant de
la journée, et de répéter cela une fois ou deux par semaine, tant que dure
une infection interne (urinaire,
génitale, intestinale, par exemple).
C’est également un actif antiparasitaire.
Le buis est l’ennemi numéro un des virus, mais présente aucune nocivité
pour l’utilisateur.
En usage externe, il a été très souvent remarqué combien l’effet est plus
spectaculaire encore. Cette même décoction pouvant servir au pansement
d’ulcères et de toutes plaies infectées, le résultat apparaît très
vite. On est généralement stupéfait, en retirant la compresse, de constater
qu’il n’y a plus aucune trace de pus, que les tissus sont propres et nets, et
que la cicatrisation apparaît d’autant plus rapidement que l’ont fait souvent alterner
ces compresses avec des cataplasmes d’argiles.
En cas de maladie virale éruptive (zona, herpès, mycoses diverses, etc.), il faut, à la fois, boire de la
décoction de buis et l’utiliser aussi en lotion, bains ou compresses.
Quand la localisation le permet (pied, coude, main), ne pas hésiter à compléter
le traitement avec des bains tièdes de cette même décoction de feuilles de
buis.
Raymond Dextreit (extraits de son livre sur l’argile)
QUELLE COURGE...!
Botaniquement
parlant, la courge est un fruit, tout comme le concombre et la tomate.
Cependant, toutes ses variétés sont consommées comme des légumes. Les
Amérindiens consomment la courge depuis 10 000 ans déjà, et pour parvenir
jusque chez nous, les courges ont dû faire un long voyage à partir du Mexique
et du Guatemala!
La courge (en général) est riche en substances pouvant aider
à prévenir les maladies liées au vieillissement .
Elle
contient 90 % d'eau ce qui en fait un aliment peu calorique (20calories au
100g).
Les
glucides ne dépassent pas 6 grammes et les lipides sont à l'état de traces.
Elle
est très riche en fibres ce qui donne un effet de satiété lors de sa
consommation et favorise le bon fonctionnement des intestins. L'action
stimulante de ses fibres est accentuée par la présence de mannitol, un glucide
complexe aux vertus légèrement laxatives. Ces fibres sont aussi une aide pour
réguler le cholestérol.
Elle
est gorgée de vitamine C. De plus, celle-ci se conservera très facilement
grâce à l'épaisseur de la peau. Cette courge contient d'ailleurs toutes les
vitamines excepté la D et la B12.
Le
pigment jaune orangé des courges est constitué pour plus de 80% de bétacarotène
(provitamine A), aux propriétés vitaminiques et antioxydantes très précieuses.
250g de potiron permet de couvrir la totalité des besoins journaliers en cette
vitamine.
La
provitamine A joue un rôle dans plusieurs fonctions de l’organisme. Elle
collabore entre autres à la croissance des os et des dents. Elle maintient la peau
en santé et protège contre les infections. De plus, elle possède des propriétés
antioxydantes et favorise une bonne vision, particulièrement dans l’obscurité.
Les
autres caroténoïdes contenus dans la courge sont la lutéine et la zéaxanthine, ces
pigments s’accumulent dans la macula et la rétine de l’oeil, le protégeant
ainsi du stress oxydatif qui pourrait lui causer des dommages. Un apport
régulier en lutéine et en zéaxanthine est donc associé à un risque plus faible
de dégénérescence maculaire et de cataracte, deux maladies de l’oeil.
La
courge contient aussi des quantités non négligeables de bêta-cryptoxanthine et
de plus petites quantités d’alpha-carotène. Tout comme les autres caroténoïdes,
ces composés peuvent se transformer en vitamine A dans l’organisme.
Il
est à noter que les caroténoïdes sont mieux absorbés dans l’organisme
lorsqu’une petite quantité de lipides (gras) est consommée au même moment. Il
est donc tout indiqué de consommer la courge avec quelques noix ou un filet
d’huile, par exemple
Il
faut savoir que la consommation d’aliments riches en caroténoïdes peut contribuer
à réduire le développement de certains cancers, notamment le cancer du sein, le
cancer du poumon et les maladies-cardiovasculaires.
La
courge contient bon nombre de minéraux :
- Le potassium : excellent pour la régulation de la pression
artérielle. La faible teneur des courges en sel les recommande d'ailleurs pour
les régimes désodées. Dans l’organisme le potassium sert aussi à équilibrer le pH
du sang et à stimuler la production d’acide chlorhydrique par l’estomac,
favorisant ainsi la digestion. De plus, il facilite la contraction des muscles,
incluant le coeur, et il participe à la transmission de l’influx nerveux.
- Le phosphore : il constitue le deuxième minéral le plus
abondant de l’organisme après le calcium. Il joue un rôle essentiel dans la
formation et le maintien de la santé des os et des dents. Il participe, entre
autres, à la croissance et à la régénérescence des tissus et aide à maintenir à
la normale le pH du sang. Finalement, le phosphore est l’un des constituants
des membranes cellulaires.
- Le cuivre : en tant que constituant de plusieurs enzymes, le cuivre est nécessaire à la formation de l’hémoglobine et du collagène (protéine servant à la structure et à la réparation des tissus) dans l’organisme. Plusieurs enzymes contenant du cuivre contribuent également à la défense du corps contre les radicaux libres.
- Le cuivre : en tant que constituant de plusieurs enzymes, le cuivre est nécessaire à la formation de l’hémoglobine et du collagène (protéine servant à la structure et à la réparation des tissus) dans l’organisme. Plusieurs enzymes contenant du cuivre contribuent également à la défense du corps contre les radicaux libres.
- Le manganèse : il agit comme cofacteur de plusieurs enzymes qui
facilitent une douzaine de différents processus métaboliques. Il participe
également à la prévention des dommages causés par les radicaux libres.
LES EFFETS DE LA VIANDE ROUGE
Viande rouge : plus de maladies intestinales
Les maladies intestinales (cancers
digestifs, maladies inflammatoires intestinales, diverticulose colique...) ont
beaucoup augmenté au 20e siècle. La cause principale est très probablement
l'augmentation de la consommation de viande rouge de mauvaise qualité :
charcuterie, viande d'élevages industriels.
Luxe jusqu'en 1945, où l'on n'en
mangeait pas plus de deux fois par semaine, la viande est aujourd'hui
omniprésente dans nos assiettes. Au restaurant, on ne se pose pratiquement pas
la question : à part quand on mange du poisson, il y a toujours de la
viande. Les personnes qui choisissent un plat de légumes sont regardées
bizarrement.
Pourtant, les statistiques sont
évidentes : dans tous les pays du monde où la consommation de viande rouge
augmente, les maladies digestives augmentent.
Cancer du côlon
Partout où la consommation de bœuf
augmente, le cancer du côlon se développe.
L'explication possible est que la
viande de bœuf contient des virus qui résistent à la cuisson. Or, lorsque vous
faites cuire votre viande de bœuf, des nitrosamines cancérogènes apparaissent.
Les virus bovins attaqueraient la paroi de vos intestins, créant ainsi des
infections prêtes à se cancériser sous l'effet des nitrosamines.
Il faut noter en effet que la cuisson du poulet et du poisson fait aussi apparaître des nitrosamines cancérogènes, mais que leur consommation n'augmente pas le risque de cancer du côlon. Cela s'expliquerait par l'absence de virus attaquant la paroi des intestins, dans ces viandes.
Il faut noter en effet que la cuisson du poulet et du poisson fait aussi apparaître des nitrosamines cancérogènes, mais que leur consommation n'augmente pas le risque de cancer du côlon. Cela s'expliquerait par l'absence de virus attaquant la paroi des intestins, dans ces viandes.
Une autre cause de cancer pourrait
être le fer héminique contenu dans la viande rouge, donc celle du bœuf mais
aussi le veau, l'agneau, le porc, le canard, l'oie, le lapin, le cheval et les
abats. Le fer oxyde les cellules, l'ADN,
les lipides et les protéines intracellulaires, ce qui à la longue semble favoriser
l'émergence de cancers.
Selon une étude réalisée sur 88 751
femmes, manger de la viande de bœuf, de porc ou d'agneau en moyenne une fois
par jour multiplie par 2,49 le risque de cancer du côlon, par rapport aux
femmes consommant ces viandes moins d'une fois par mois.
Autres maladies intestinales provoquées par l'excès de viande
La maladie de Crohn est favorisée
par la consommation de viande. La viande n'est en effet pas totalement absorbée
dans l'intestin grêle (première partie des intestins, après l'estomac), elle
passe dans le côlon où elle va fermenter sous l'effet des bactéries de la flore
intestinale. Cette fermentation produit des dérivés toxiques qui attaquent la
muqueuse de l'intestin. Cela peut provoquer des saignements, diarrhées et
douleurs abdominales pénibles caractéristiques de la maladie de Crohn.
Le côlon, qui est donc la deuxième
partie de l'intestin, où la nourriture achève d'être dégradée par la flore
intestinale, peut aussi, sous l'effet de la viande, développer de petites
poches où les matières fécales se bloquent. Comme vous pouvez l'imaginer, ce
n'est pas très propre et cela provoque des infections, voire une perforation
dans l'abdomen (péritonite). Cette maladie, appelée diverticulose colique, est
typique de l'alimentation occidentale riche en viande, et bien moins répandue
chez les végétariens.
La viande augmente le risque
d'endométriose chez les femmes (présence de tissu endométrial à l'extérieur de
l'utérus). Une étude datant de 2004 a prouvé que les femmes qui consomment le
plus de viandes rouges avaient deux fois plus de risques d’avoir une
endométriose.
Une consommation quotidienne de 100
g par jour augmente d’environ 20% les risques de déclencher un diabète de type
2.
D'autres maladies telles que les
maladies cardiovasculaires, les cancers de l'estomac, de la vessie et la
maladie d'Alzheimer seraient favorisées par la viande.
De quoi est faite la viande que vous mangez ??
Il faut toutefois se garder de
diaboliser un aliment qui fait partie depuis les plus lointaines origines, de
l'alimentation de l'homme.
Le problème de la viande pourrait en
fait largement être causé par la qualité déplorable de la viande que
nous consommons aujourd'hui.
Pour augmenter la productivité des
élevages, les animaux sont aujourd'hui nourris au maïs, aux grains, aux farines
animales, souvent encore enrichis d'additifs. Les animaux, on le sait, vivent
dans une surpopulation souvent impensable, et sont abattus dans des conditions
si horribles que l'ancien Beatles Paul McCartney a pu déclarer : « Si
les abattoirs avaient des murs en verre, tout le monde serait
végétarien ».
Nous sommes très loin du brave
troupeau broutant l'herbe verte et les pâquerettes de pâturages verdoyants, qui
sont les conditions de vie naturelles des bovins, et cela pourrait largement
expliquer les effets délétères de la consommation de viande sur notre santé.
Pour l'ensemble de ces raisons, et
d'autres encore qui tiennent à la protection de l'environnement, Jérémy Anso du
site de nutrition « Dur à Avaler » recommande fortement de ne pas
dépasser 300 grammes de viande par semaine, ce qui équivaut à deux steaks
hachés ou une grosse portion au restaurant.
Jean-Marc Dupuis
Cowspiracy, le documentaire choc,
présente sans fard les vrais chiffres de
la viande
Si l’impact de la viande ne fait pas de doute depuis des années dans les
chiffres, ceux-ci restent encore trop confidentiels, malgré leur caractère
public. C’est ce qu’ont voulu dénoncé les auteurs d’un documentaire choc, Cowspiracy,
produit par Leonardo DiCaprio.
Saviez-vous que la fracture hydraulique nécessite 378 millions de litres
d’eau par an ? Eh bien l’industrie de la viande utilise 129.000 milliards
de litres d’eau par an. Ainsi, comme le documentaire Cowspiracy :
The Sustainability Secret le précise, pour produire un burger il
faut plus de 2.000 litres d’eau, soit deux mois de douches. Ainsi,
5 % de l’eau utilisée aux Etats-Unis l’est utilisée pour un usage
domestique, contre 55 % pour l’élevage.
Des chiffres effarants
Pour produire un kilogramme de boeuf, il faut 20.000 litres d’eau, contre
près de 4.000 litres pour un oeuf, ou 7.000 litres pour un kilo de fromage.
Cette industrie est plus polluante que tout le secteur des transports aux
Etats-Unis. Les déchets sont même 130 fois plus importants que les déchets
humains.
Le secteur utilise 33 % des ressources terrestres en eau, 45 %
des terres et est responsable de 91 % de la destruction de la forêt
amazonienne. Quand l’huile de palme est responsable de la destruction de
104 millions de mètres carrés, l’élevage conduit à la
destruction de 544 millions de mètres carrés de forêt.
Autre élement :
l’élevage industriel est tel que le terrain occupé n’est pas le même que si le
boeuf était élevé dans l’herbe. Si le boeuf était élevé en pâturage, il
faudrait 3,7 millions de kilomètres carrés de terrain herbeux pour
l’élever quand aux Etats-Unis il y en a 1,9 million.
Du côté des poissons, ce n’est guère mieux, puisque 2.700 milliards de poissons
sont pris chaque année. Pour un kilogramme de poisson pêché dans les océans, on
pêche en réalité 5 kg de poissons qui ne seront pas conservés, notamment à
cause de la pêche en eaux profondes. C’est ainsi que près de 50 millions de
requins sont pris dans les filets chaque année.
Le documentaire rappelle aussi que la nourriture produite est suffisante pour 12 à 15
milliards de personnes et, quand la planète en compte 7, un milliard
de personnes ont faim. 50 % des ressources en céréales et en légumes sont
destinées à l’élevage. 1,5 milliard de vaches utilisent 170 milliards de litres
d’eau, 61 milliards de kilos de nourriture, contre 20 milliards de litres d’eau
et 9,5 milliards de kilos de nourriture pour les humains.
La viande tue la planète
Le parti pris du documentaire est très clair : dénoncer le fait que
l’élevage industriel tue la planète, le titre étant un mot-valise constitué
de « cow » (« vache ») et « conspiracy »
(« conspiration »). Il s’appuie sur un rapport très officiel, des
Nations-Unies, qui prouve que l’élevage est en réalité la première cause de
problèmes environnementaux, devant même les transports ou l’industrie
pétrolière.
Produit par Leonardo DiCaprio, le documentaire a été réalisé par deux
jeunes activistes de San Francisco, Kip Andersen et Keegan Kuhn et il
est d’ores et déjà disponible en DVD et VOD. Il sera projeté le
2 décembre au Parlement européen, en introduction d’un débat sur le poids
des lobbies.
Source consoglobe
Le radis noir, meilleur ami de votre foie, mais pas seulement !
Le radis noir est une plante appartenant à la famille
des crucifères. Cultivé par les égyptiens durant
l'époque des pharaons, le radis noir constituait alors une monnaie d'échange.
C'est sans doute ainsi qu'il est parvenu jusqu'en Chine où ses vertus
médicinales ont rapidement été remarquées. Cependant, le radis noir n a fait
son apparition en France qu'au XVIIIème siècle.
Antiseptique,
diurétique, cholérétique et fortifiant, très utilisé en
phytothérapie, il possède de nombreuses vertus thérapeutiques. Surtout réputé
pour son action détoxifiante pour le foie, ses bienfaits ne s’arrêtent pas là !
Voici 7 bonnes raisons de consommer du radis noir.
Le radis noir contient de grandes quantités d’isothiocyanates, des composés
qui possèdent des propriétés antibactériennes et insecticides. Il contient
également de la raphanine, une substance reconnue pour son action antiseptique
et antibactérienne.
Il contient du potassium, essentiel au bon
fonctionnement des muscles et notamment du cœur.
Des propriétés antioxydantes
Il est très riche en vitamine C, dont l’action antioxydante permet de
lutter contre les infections et les radicaux libres. Celle-ci lui confère
également un pouvoir fortifiant qui renforce le système immunitaire.
Des bienfaits pour la digestion
Le radis noir soulage les troubles digestifs. Légèrement laxatif, il est
recommandé aux personnes souffrant de constipation. De plus, sa richesse en eau
fait de lui un diurétique efficace.
Le meilleur ami du foie !
Le radis noir est un puissant détoxifiant du foie. Il contribue à drainer
le foie et il favorise la production de bile, permettant une meilleure
élimination des toxines.
Des bons glucides !
Avec une teneur de 60 calories pour 100g, le radis noir est l’un des
légumes les plus caloriques. En cause, sa richesse en glucides. Ces glucides
sont essentiellement des glucosinolates, des puissants antioxydants qui
agissent contre le vieillissement des cellules et qui peuvent empêcher la
prolifération des cellules cancéreuses.
Un remède contre la toux
Le radis noir est un antitussif et un expectorant
naturel. Il peut être utilisé pour lutter contre la toux, l’asthme et la
bronchite. Le radis noir permet également d'élaborer un sirop
antitussif, en le laissant simplement macérer avec du sucre de canne. Le jus de
radis noir est également utilisé en application cutanée pour calmer les
érythèmes et les coups de soleil.
Une plante médicinale
incontournable !
En phytothérapie, on utilise le jus de sa racine à des fins médicinales. On
trouve également dans le commerce des extraits présentés sous la forme
d’ampoules. Le jus de radis noir agit sur le foie et la vésicule biliaire. Il
permettrait notamment de traiter la dyspepsie causée par une mauvaise
circulation biliaire.
LES DATTES: un doux plaisir
Les dattes sont
abondantes en fibres qui sont essentielles pour une bonne digestion.
Leur teneur élevée
en sucre naturel est ce qui fait des dattes une excellente alternative
au sucre ordinaire. En plus d’être facilement métabolisées,
elles sont aussi rassasiantes et satisfont la faim. Riches en
nutriments, les dattes sont un excellent choix de fruits pour les enfants et
les adultes. De plus, les dattes sont extrêmement bénéfiques pour le traitement
de diverses conditions et maladies telles que l’anémie, le taux élevé de
cholestérol, et même le cancer.
Riches en fer
Les dattes sont très
efficaces dans le traitement de l’anémie parce qu’elles sont une riche source
de fer. 100 g de dattes contiennent environ 0,90 g de fer, ce qui
représente environ 11% de l’apport quotidien recommandé. Et, le fer joue un
rôle essentiel dans le transfert de l’oxygène dans le sang. Généralement, les
adolescents et les femmes enceintes sont les groupes qui ont besoin de plus de
fer.
Abondantes en
vitamines oculaires
En raison du fait que
les dattes contiennent de la lutéine et de la zéaxantine, elles sont souvent
désignées comme des « vitamines oculaires ». La lutéine et la
zéaxantine sont connues pour être très bénéfiques pour la rétine et la macula
de l’oeil, car elles améliorent la vue et préviennent tout dommage
possible de la macula, qui se détériore avec l’âge. Si vous voulez améliorer
votre vue, vous devriez manger plus de dattes.
Traitent la diarrhée
En outre, les dattes
contiennent du calcium, un minéral important pour le traitement de la diarrhée.
De plus, les dattes peuvent faire des merveilles pour le renouvellement de la
flore intestinale. La consommation régulière de dattes stimule la prolifération
des bonnes bactéries dans les intestins.
Réduisent
la constipation
Tout comme les dattes
peuvent aider à lutter contre la diarrhée, elles stimulent aussi une bonne
digestion et éliminent les toxines du corps. Si vous souffrez de constipation,
vous devriez laisser quelques dattes dans un verre d’eau pendant la nuit.
Pendant la nuit, les dattes vont libérer leur jus qui est un excellent laxatif,
et favoriseront la fonction intestinale. Et ce n’est pas tout; les dattes
stimulent également le métabolisme, car elles ont une teneur élevée en
fibres – 100 g de dattes contiennent 8.5 g de fibres.
Facilitent l’accouchement
Selon une expérience
menée à l’université des sciences et de la technologie de Jordanie, la
consommation régulière de dattes à partir de 4 semaines avant la date d’échéance
peut soulager la douleur et réduire le saignement. L’étude a montré que les
femmes qui consommaient des dattes ont eu un accouchement beaucoup plus
facile par rapport aux femmes qui ne mangent pas de ce fruit. En outre, les
dattes aident les femmes à surmonter la dépression post-partum plus
facilement et produisent suffisamment de lait pour le bébé.
Régulent le poids
Les dattes donnent une
sensation de satiété et stimulent réellement la perte de poids en
raison des nombreux éléments nutritifs qu’elles contiennent. Manger une date
sur un estomac vide ne va pas seulement réguler le travail des vos
intestins, mais aussi votre taux de sucre dans le sang. Mais, ayez à
l’esprit que, même si les dattes ne contiennent pas de cholestérol, elle contiennent
beaucoup de sucre, donc une consommation excessive conduirait à un gain de
poids à la place (1 kg de dattes contiennent 3000 calories).
Renforcent le coeur
Les dattes se
sont également montrées être bénéfiques pour les maladies cardiaques
donc les gens ayant le cœur fragile sont invités à consommer des
dattes sur une base régulière. Laissez quelques dattes dans un verre d’eau
pendant la nuit. Dans la matinée, mixez les dattes et l’eau. Vous pouvez
en boire plusieurs fois pendant la journée.
Réduisent l’hypertension
Bien que les dattes
contiennent un peu de sodium, elles sont très abondantes en calcium.
Une portion de 5-6 dattes contient près de 80 mg de magnésium, un minéral
essentiel pour la dilatation des vaisseaux sanguins. Selon les recherches, 370
mg de magnésium par jour peut réduire efficacement la pression artérielle.
Prévention de l’AVC
Grâce à sa haute teneur
en potassium, ce fruit étonnant est bénéfique pour conserver un système
nerveux sain. Selon les études, le risque d’AVC peut être réduit jusqu’à 40%
avec une consommation suffisante de potassium (environ 400 mg par jour).
Aliment pour le
cerveau
De plus, les dattes
contiennent du phosphore, ce qui est excellent pour le cerveau.
Parfait stimulant
Pour stimuler l’énergie
de façon optimale, combinez des dattes et des amandes car cela va vous
aider à obtenir le montant maximum des sucres naturels que ce fruit contient (y
compris le glucose, le saccharose et le fructose).
Augmentent la libido
Pour une libido
accrue, faites tremper quelques dattes dans un peu de lait d’amande et
laissez-les toute la nuit. Dans la matinée, mixez les fruits et le lait
d’amande, ajoutez du miel et de la cardamome (épice) et buvez cette
boisson. Cette combinaison est toute aussi positive pour les hommes que
pour les femmes, car elle renforce le corps et augmente le niveau
d’énergie.
L'alimentation crue: un mode de guérison?
Une femme vient à bout de 17 années de douleurs causées par la fibromyalgie grâce à l'alimentation crue:
A une époque, Stacy Stowers a essayé de combattre sa fibromyalgie
invalidante ainsi que les douleurs chroniques en prenant tous les jours du
café, des somnifères et de l’alcool. « Je ne pouvais pas me lever du lit
ni m’habiller », dit Stacy Stowers. « Finalement, mes dents ont
commencé à tomber ». Elle a vécu avec tant de douleurs et a eu eu un mode
de vie si malsain pendant près de 20 ans.
Aujourd’hui, Stacy Stowers est une femme dynamique. Elle a vaincu les
douleurs et est en bonne santé depuis 2007.
Son secret? Les aliments crus.
Elle a commencé l’alimentation crue en 2007 et dit qu’au bout de 10 jours,
elle n’en revenait pas de se sentir aussi bien, elle pouvait se lever de son
lit. Et maintenant, elle diffuse ses connaissances sur la puissance de
l’alimentation crue et est l’auteur du livre Eat Raw, Not Cooked (Mangez Cru,
Pas Cuit).
Les pouvoirs de guérison de
l’alimentation crue
« Il y a deux raisons fondamentales pour lesquelles l’alimentation
crue guérit », dit-elle. « La première concerne les enzymes vivantes.
Notre corps a toutes les enzymes métaboliques qui préservent notre
jeunesse, et les enzymes digestives que l’on trouve dans les aliments naturels
et crus. Lorsque nous tuons les enzymes digestives naturelles avec la cuisson
(à partir de 40°C), nos enzymes métaboliques qui nous guérissent et préservent
notre peau saine doivent abandonner ce qu’elles faisaient pour se consacrer
au processus digestif.
Elle explique que l’autre raison pour laquelle les aliments crus nous
soignent est leur capacité à maintenir l’équilibre acido-basique; un corps en
acidose est criblé des effets nocifs des mauvais aliments, ainsi que du stress
et de la pollution constants. Les aliments crus rendent le corps plus alcalin.
Briser les mythes
de l’alimentation crue
Elle démonte aussi l’idée reçue de nombreux opposants ou même de nouveaux
arrivants dans l’alimentation crue selon laquelle les choix n’offrent pas une
variété nutritionnelle suffisante. De toute évidence, elle a suffisamment
d’arguments pour faire taire cette idée reçue, tout comme l’enthousiaste
de l’alimentation crue David Wolfe.
Wolfe dit, « Vous ne devriez pas manger des aliments qui vous font
vous sentir mal. C’est ce qui est formidable avec la nourriture crue. C’est
vrai que tout le monde ne peut pas manger d’énormes quantités de laitue ou
de chou, mais si vous considérez tout ce qui existe, toutes ces différentes
catégories d’aliments, les noix et les graines, les algues, l’herbe de blé, les
superaliments, les choux de Bruxelles, et le kimchi et la choucroute – c’est
juste incroyable les choix qui se présentent à nous. »
Un autre mythe au sujet de la nourriture crue c’est qu’elle doit toujours
se consommer froide. Les aliments crus peuvent être « réchauffés » en
les servant à la température ambiante et en ajoutant des épices qui
« réchauffent » comme le gingembre et même en les chauffant
à une température inférieure à 48°C.
D’autres combattent l’idée que les aliments crus sont chers, faisant
valoir que la malbouffe et la viande sont chers également. Ils soulignent que
les repas crus bien planifiés peuvent convenir à une variété de budgets.
Stacy Stowers a l’intention de maintenir ce mode de vie. « La seule
chose dont je souffrais était les muscles du sourire, car je ne pouvais pas
m’arrêter de sourire », dit-elle. « La vie m’a été rendue après 17
ans de souffrances ».
Source: Santé Nutrition
Source: Santé Nutrition
Et la pêche, vous y avez pensé?
Avec seulement 40 kcal pour 100 g, la pêche a un apport
énergétique modéré, un fruit moyen ne fournissant pas plus de 56 kcal. Inutile
alors de se priver de son pouvoir désaltérant et réhydratant, dû
aux 87 % d'eau qu'elle renferme.
De plus, elle contribue à la reminéralisation de l'organisme. Très riche en potassium (200 mg/100 g), en phosphore et en magnésium, elle est idéale pour faire le plein de ces nutriments qui peuvent vite nous faire défaut.
Mais c'est surtout une excellente source de provitamine
A : 100 g de pêche jaune couvre en effet la moitié de nos besoins
journaliers (les pêches blanches, elles, en sont moins bien pourvues). Pour un
cocktail débordant de ce précieux antioxydant, vous pouvez préparer par exemple
une salade mélangeant des pêches blanches, jaunes et des fraises.
Son bel apport en vitamine C (7 mg/100 g) est d'autant plus intéressant qu'il est associé à une forte présence de pigments flavonoïdes, qui favorisent son assimilation. Plus une pêche est colorée, plus elle en contient, notamment autour du noyau. Ceux-ci n'ont aucune incidence sur le goût mais ils contribuent au bon fonctionnement du système cardio-vasculaire.
Enfin, grâce à ses fibres abondantes (2 g/100
g) et très tendres, la pêche stimule tout en douceur les intestins paresseux
et fragiles. Elle est si douce que l'on peut l'inclure dans
l'alimentation des tout-petits dès cinq ou six mois, réduite en purée ou en
compote.
L'été, pensez-à manger de la pastèque!
On est en pleine saison de la pastèque. On en trouve, préparée en
grosses tranches chez tous les marchands de fruits et légumes et elle
n’est pas chère. Ne vous en privez pas : la pastèque est pleine de
bienfaits.
Elle contient plus de 90% d’eau : la pastèque est un fruit les
plus désaltérant qui soit et en ces temps de chaleur, c’est appréciable. En
croquer un bon morceau de 200 g, ça change du grand verre d’eau et ça vous
en apporte autant.
Mais elle vous apporte en même temps une bonne dose de carotènes :
260 microgrammes au minimum pour 100 g. Plus elle est colorée, plus
elle en contient.
Dans ces carotènes qui sont des antioxydants puissants, excellents
pour protéger vos artères et votre peau, il y a surtout du lycopène
qui est particulièrement protecteur. Une portion de
125 ml (1/2 tasse) de pastèque contient environ 3,5 mg de
lycopène, soit approximativement la même quantité qu’une tomate moyenne,
reconnue comme une source importante de lycopène.
Citrulline et
arginine
La pastèque est l’un
des aliments les plus riches en citrulline, un acide aminé. Dans le corps
humain, la citrulline est convertie en arginine (un acide aminé essentiel), qui
joue un rôle sur les systèmes cardiovasculaire et immunitaire et qui aurait des
effets bénéfiques sur la santé des vaisseaux sanguins. Les pastèques à chair
orangée ou jaune en contiennent généralement plus que celles à chair rouge25.
Selon une étude, la consommation quotidienne de jus de pastèque permettrait
d’augmenter les taux d’arginine dans le plasma sanguin chez l’humain.
Par ailleurs, 250 ml
(1 tasse) de pastèque - ce qui équivaut à 2 portions, selon le
Guide alimentaire canadien - sont une bonne source de vitamine VC ainsi
que de magnésium, de cuivre, de vitamine A, de vitamine B5 (acide
pantothénique) et de vitamine B6 (pyridoxine).
Pour la préparer ? Mettez de la pastèque dans vos salades de
fruits et préparez-la aussi en sorbet. Rien de plus facile : vous
la coupez en petits morceaux, vous les congelez et juste avant de servir, vous
les mixez avec éventuellement un peu de sucre. Nul besoin de sorbetière.
Ou bien faites un délicieux jus de fruit en la passant au mixer avec
quelques morceaux de gingembre frais… Idéal pour l’été !
ET SI ON METTAIT FIN A L'ELEVAGE INTENSIF?
L'élevage intensif constitue le plus
aberrant système de contre-productivité économique et alimentaire que l'on
puisse imaginer. En effet, la production animale n’a rien d’une activité
marginale : fondée au tout début du XXe siècle aux États-Unis sur le modèle
productiviste de l’industrie automobile, elle représentait, en 2009, 40 % de la
production agricole mondiale ! et le bétail mondial à lui seul
mobilise dans le même temps une quantité de nourriture équivalente au besoin
calorique de 8,7 milliards d’humains, nous sommes 7 milliards aujourd'hui.
L’heure est donc venue, pour les carnivores invétérés, de reconsidérer sérieusement leur plat du jour en alternant riz complet, lentilles et cuisse de poulet... Un menu plus équilibré leur serait profitable, et profiterait d’ailleurs aussi à tous. Parce qu’à n’en pas douter, de ces pavés charolais quotidiens dépend l’avenir des futures générations...
L’heure est donc venue, pour les carnivores invétérés, de reconsidérer sérieusement leur plat du jour en alternant riz complet, lentilles et cuisse de poulet... Un menu plus équilibré leur serait profitable, et profiterait d’ailleurs aussi à tous. Parce qu’à n’en pas douter, de ces pavés charolais quotidiens dépend l’avenir des futures générations...
Pour ceux qui veulent aller plus
loin, voici un lien bien documenté avec sources à l'appui, sans préjugés ni
débat stérile opposant végétariens et mangeurs de viande.
****************
Le chef français Ducasse fait la révolution: il retire la viande de son menu
Le chef
français Alain Ducasse a décidé de supprimer la viande de la carte du
restaurant du palace Plaza Athénée qui vient de rouvrir à Paris, jonglant avec
les tendances végétariennes dans son menu "jardin-marin".
"La
planète a des ressources rares, il faut la consommer plus éthiquement, plus
équitablement", explique Alain Ducasse à l'AFP.
Le chef
surmédiatisé, qui prône la diminution des protéines animales depuis longtemps,
ne parle plus que de "naturalité", un mot qu'il a découvert récemment
et qui reflète le virage radical pris par le nouveau Plaza.
Finie donc
la viande, bienvenue pêche de ligne durable, céréales "bio, autant que
faire se peut", légumes "du jardin de la Reine" cultivés au
Château de Versailles.
Riz noir
cuit au four avec coquillages, calamars et poulpes, baudroie (lotte) de
Méditerranée et boulghour en tajine, quinoa cultivé en Anjou racines et
coquillages: le chef mise sur la rusticité des graines et des céréales alliées
aux saveurs marines. Mais le menu conserve son prix palace: 380 euros hors
boisson.
Pour celui
qui se dit "l'interprète de l'air du temps", "plus le produit
est modeste, plus il faut lui donner de l'attention".
Pour une
sardine débarrassée de ses chairs, arête et tête frites, croustillante, il
décrit un travail "au scalpel" pour faire du poisson "un
portefeuille ouvert" : "c'est moins facile que de trancher le turbot
(un poisson plus coûteux, ndlr). Là, il y a 15% de sardine, et 85% de
travail".
Authenticité et communion avec la nature, le restaurant a relégué les nappes au placard: chêne et cuir sur et sous les tables. Finis les couteaux à poisson remplacés par des couteaux à viande qui n'écrasent pas la chair du bar ou du turbot.
Côté vins,
le sommelier Laurent Roucayrol prévient : "Il ne faut pas avoir peur du
vin rouge avec le poisson" pour accompagner le terre-mer "lentilles
vertes du Puy, caviar doré, gelée d'anguille".
(Pour mémoire : Pour la cuisine française, c'est « l'empire du Soleil-Levant »)
Moins de
gras, moins de sucre
Peu de
beurre ni de crème, juste les sucs de légumes "quand la grande influence
mondiale est au sucre, au gras, au frit". "J'ai voulu alléger,
insiste le chef, mon obsession c'est d'enlever le sucre".
Les desserts
du chef pâtissier Michaël Bartocetti reflètent ce parti pris. A l'image du
citron de Menton et algues Kombu à l'estragon: entre les écorces confites, les
amandes fraîches, la gelée et les algues, le client peut être déstabilisé par
ce plat fort en acidité et amertume.
Même
intensité pour les desserts au chocolat, au goût prononcé en cacao. "On
nous demande de la crème ou du caramel avec le chocolat... non, on ne va pas
céder, maintient-il, sinon on est dans la globalisation. On mange tous le même
gras, le même sucré".
Un virage
qui ne rompt toutefois pas avec le luxe du Plaza Athénée - le client est
accueilli par un jus d'herbes-vodka versé sur un glaçon taillé en diamant servi
dans un verre en cristal. Bling bling ? "Non, se défend Alain Ducasse,
mais on n'est pas là pour faire simple, le travers du simple c'est du
simplisme".
Palace
parisien centenaire fermé depuis octobre pour rénovation, le Plaza Athénée a
partiellement rouvert le 1er août et n'ouvrira en intégralité qu'aux alentours
de la mi-septembre en raison d'un retard dans les travaux.
La salle
entièrement redécorée, avec effets de miroirs, a gardé sa splendeur et son
opulence. Elle accueille désormais un cabinet de curiosités: pièces
d'orfèvrerie, cristallerie, objets en cuivre de la collection personnelle du
chef brillent en transparence derrière une vitrine éclairée.
A sa fermeture, le restaurant du Plaza était un trois étoiles: il lui faut désormais les reconquérir. "C'est mieux avec", sourit le chef. Verdict du guide gastronomique Michelin attendu début 2015.
A sa fermeture, le restaurant du Plaza était un trois étoiles: il lui faut désormais les reconquérir. "C'est mieux avec", sourit le chef. Verdict du guide gastronomique Michelin attendu début 2015.
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ENVIE D'UNE TARTE AUX CERISES...?
Voici la liste des produits chimiques utilisés pour la fabrication d’une
tarte aux cerises de supermarché, depuis le champ de blé jusqu’à l’usine
agroalimentaire.
Histoire de la Pâte...
Pour obtenir la farine, les grains de blé ont été enrobés d’un fongicide
avant semis. Pendant sa culture, le blé a reçu de 2 à 6 traitements de
pesticides selon les années, 1 traitement aux hormones pour raccourcir les
tiges afin d’éviter la verse et 1 dose importante d’engrais: 240 kg d’azote,
100 kg de phosphore et 100 kg de potassium à l’hectare, tout de même !
Le blé moissonné, dans le silo, après récolte, les grains sont fumigés au
tétrachlorure de carbone et au bisulfide de carbone, puis arrosés au
chlopyriphosméthyl. Pour la mouture, la farine reçoit du chlorure de nitrosyl,
puis de l’acide ascorbique, de la farine de fève, du gluten et de l’amylase.
Ensuite, il faut faire lever la pâte. La poudre levante est traitée au
silicate de calcium et l’amidon est blanchi au permanganate de potassium. Pas
de pâte sans corps gras. Ceux-ci reçoivent un antioxydant (pour éviter le
rancissement) comme l’hydroxytoluène de butyl et un émulsifiant type lécithine.
Histoire de la Crème
La crème sur laquelle vont reposer les cerises se fait avec des oeufs,
du lait, et même de l’huile.
* Les œufs proviennent d’un élevage industriel où les poules sont
nourries avec des granulés contenant des:
- antioxydants (E300 à E311),
- arômes,
- émulsifiants: alginate de calcium,
- conservateurs : acide formique,
- colorants : capsanthéine,
- agents liants: lignosulfate
- et enfin des appétants : glutamate de sodium, pour qu’elles
puissent avaler tout ça.
Elles reçoivent aussi des antibiotiques, bien entendu, et surtout des
anticoccidiens. Les œufs, avant séchage, reçoivent des émulsifiants, des agents
actifs de surface comme l’acide cholique et une enzyme pour retirer le sucre du
blanc.
* Le lait provient d’un élevage industriel où les vaches reçoivent une
alimentation riche en produits chimiques :
- antibiotiques : flavophospholipol (F712) ou monensin-sodium (F714)
- antioxydants : ascorbate de sodium (F301), alphatocophérol de synthèse
(F307), buthyl-hydrox-toluène (F321) ou éthoxyquine (E324),
- émulsifiants : alginate de propylène-glycol (F405) ou polyéthylène
glycol
(F496),
- conservateurs : acide acétique, acide tartrique (E334), acide
propionique
(F280) et ses dérivés (F281 à E284),
- composés azotés chimiques : urée (F801) ou diurédo-isobutane (F803),
- agents liants : stéarate de sodium,
- colorants : F131 ou F142
- et enfin des appétants pour que les vaches puissent manger tout ça,
comme le glutamate de sodium.
* Les huiles, quant à elles, ont été :
- extraites par des solvants comme l’acétone,
- puis raffinées par action de l’acide sulfurique,
- puis lavage à chaud,
- neutralisées à la lessive de soude,
- décolorées au bioxyde de chlore ou au bichromate de potassium
- et désodorisées à 160°C avec du chlorure de zinc.
- Enfin, elles ont été recolorées à la curcumine.
La crème de la tarte, une fois fabriquée, reçoit des arômes et des
stabilisants comme l’acide alginique (E400).
Histoire des Cerises
Les cerisiers ont reçu pendant la saison entre 10 et 40 traitements de
pesticides selon les années.
* Les cerises sont :
- décolorées à l’anhydride sulfureux
- et recolorées de façon uniforme à l’acide carminique ou à l’érythrosine.
- Elles sont plongées dans une saumure contenant du sulfate d’aluminium
- et à la sortie, reçoivent un conservateur comme le sorbate de potassium
(E202).
Elles sont enfin enduites d’un sucre qui provient de betteraves qui,
comme les blés, ont reçu leur bonne dose d’engrais et de pesticides. Ce
sucre est extrait par :
- défécation à la chaux et à l’anhydride sulfureux,
- puis décoloré au sulfoxylate de sodium,
- puis raffiné au norite et à l’alcool isopropylique.
- Il est enfin azuré au bleu anthraquinonique.
Par ces traitements, les cerises ayant donc perdu tout leur goût, il est
nécessaire d’ajouter un parfum artificiel alimentaire. Ce parfum est une
recréation synthétique du goût et de l’odeur à partir d’éléments artificiels
issus de la chimie du pétrole aux prix de revient extrêmement faibles-
par économie d’echelle – en comparaison du parfum naturel de fruit.
L’exemple developpé est ici la cerise, mais de tels composés servent à
recréer aussi bien des parfums artificiels de fraise, d’ananas, de framboise,
de miel, de caramel, de muguet.. etc.
* Le parfum artificel de cerise se compose donc des molécules synthétiques
(donc à la stéréochimie inversée) suivantes :
- acétate d’éthyle
- acéthyl méthylcarbinol
- butyrate d’isoamyle
- caproate d’ethyle
- caprylate d’isoamyle
- caprate d’éthyle
- butyrate de terpenyle
- geraniol
- butyrate de geranyl – acetylacetate d’ethyle
- heptanoate d’ethyle
- aldéhyde benzoique
- aldéhyde p-toluique
- vanilline
- essence artificielle d’amande amère SAP
- essence artificielle de girofle Bourbon
- essence artificielle de cannelle Ceylan
- essence de lie de vin
IL NE RESTE PLUS QU’A VOUS SOUHAITER : BON APPÉTIT, ou plutôt
BONNE CHANCE!!!!!
Publié par Sante Globale
le 17 février 2011
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La Boucherie Végétarienne, la nourriture du futur ?
Premièrement,
ce morceau de viande à l’aspect ordinaire, vous semble-t-il être constitué de
viande animale ? Deuxièmement, connaissez-vous l’empreinte environnementale de
la consommation de viande dans le monde ? Troisièmement, si vous êtes un adepte
de viande, un végétarien invétéré ou aucun des deux, connaissez-vous au moins
le concept de boucherie végétarienne ?
Partons à la
découverte de ce concept culinaire encore méconnu en France
La Boucherie Végétarienne, concept né
en Hollande et largement répandu dans les pays du Nord (Belgique, Finlande,
Hollande et encore Allemagne) est à l’origine une idée trouvée par Jaap
Korteweg (agriculteur biologique se consacrant exclusivement à la redéfinition
de l’agriculture industrielle moderne).
C’est en
collaboration avec un chef de cuisine reconnu que cette innovation culinaire
voit le jour en 2010. Le principe est simple, le morceau de viande que nous vous
avons présenté au début de l’article est tout simplement une viande
végétarienne.
Alors
comment une viande peut-elle être à la fois une viande et végétarienne...?
Il s’agit d’un substitut de « viande
» constitué non pas de matière animale mais de matière végétale et sa
différence avec un simple tofu est apparemment sa consistance et son goût
quasi-identique à la viande animale. Grâce à de nouvelles techniques
développées par une université hollandaise, on peut reproduire les fibres de la
viande en utilisant une machine qui met sous pression une pâte obtenue à partir
de graines de soja. Certains de ces produits sont constitués également de
lupin.
Le but est
de réellement conserver les mêmes attributs de la viande que ce soit le goût,
la texture et aussi les bienfaits mais sans utiliser de viandes animales.
Mais
pourquoi cette innovation culinaire et pour qui ?
Réponse au «
pourquoi ? » A cause de l’impact de
l’agriculture industrielle de viande et de consommation de viande dans le
monde.
En quelques
chiffres voici l’accablant constat :
-
Biodiversité : 83% du lait mondial produit par une seule race de vaches
- Climat :
30 % des émissions de gaz à effet de serre produites par l’élevage
- Terre : 40
% des céréales mondiales destinées à l’élevage
- Eau : 15
500 litres d’eau pour 1kg de bœuf
- Dernière
inquiétude avec l’antibiorésistance : 100 000 tonnes d’antibiotiques par an
pour les élevages chinois
L’élevage
consomme en effet plus d’antibiotiques que l’humanité. Cette situation est une
conséquence directe des conditions intensives d’élevage, plus exposées aux
épidémies. Les antibiotiques sont aussi largement utilisés pour accélérer la
croissance des animaux. A titre d’exemple, un porc qui reçoit des antibiotiques
a besoin de 10 à 15% d’aliments en moins pour atteindre le même poids qu’un
animal non dopé. Si l’Union européenne a interdit l’usage des antibiotiques
comme facteur de croissance, leur consommation n’y a toujours pas baissé.
Ailleurs, elle continue d’augmenter. A elle seule, la Chine administre à ses
élevages 100 000 tonnes d’antibiotiques chaque année. (Source)
Le soja et
le lupin consommeraient beaucoup moins en CO2
En effet,
au-delà de la simple innovation culinaire, ce qui reste révolutionnaire dans ce
concept est l’utilisation du soja qui est, dans l’agriculture industrielle
traditionnelle, justement utilisé à hauteur de 90% pour nourrir les animaux
d’élevage.
On peut
appeler ça l’ironie de la situation ou encore le comble du sort mais notez qu’à
l’échelle mondiale, le bétail et animaux destinés à l’élevage mangent beaucoup
plus que l’humanité toute entière alors que ces bêtes vont finir tout
simplement dans nos assiettes.
Un kilo de
viande nécessite cinq à douze kilos de soja. Ainsi, quelqu’un qui consomme des
protéines végétales utilise jusqu’à 10 fois moins de soja que quelqu’un qui consomme
des protéines animales.
La boucherie
végétarienne affirme qu’en théorie, ils seraient capables de nourrir jusqu’à 30
milliards de personnes avec leur zone agricole actuelle (culture de lupin et de
soja) et que, par conséquent, il y aurait plus d’espace disponible pour la
nature sur terre.
Les océans
seraient également préservés puisque la boucherie propose une alternative à la
surpêche avec par exemple, le thon sans « poisson ».
Réponse au
« pour qui? »
Pour tout le
monde, les végétariens bien entendu (à part si l’aspect « viande »
dérange) et pour les incontestables « carnivores » adeptes de viande,
puisque l’innovation est en partie faite pour les amateurs de viande qui
souhaiteraient s’en passer sans se passer de son plaisir.
Mais pour
tout le monde, veut dire également que ce nouveau concept tend à réduire les
inégalités mondiales au niveau de l’alimentation. En effet, la consommation de
viande traditionnelle est totalement inégalitaire dans le monde entre les
différents pays.
Source: Green et Vert
Le Thym, la plante de toutes les
saisons !
Le thym, sous sa forme commune, est une plante importante de la
pharmacopée, et particulièrement dans le Sud de la France où elle pousse
naturellement. Outre son utilisation aromatique dans la cuisine provençale, ses
vertus diverses sont à même de soulager une grande variété d'affections
respiratoires et intestinales. Il constitue ainsi un anti-infectieux à large
spectre et un stimulant de l'immunité.
Par voie interne, il soulage un large panel de pathologies respiratoires: il
calme les quintes de toux, notamment dans les affections de type coqueluche,
bronchite, pleurésie, coqueluche, angine, otite, rhume, rhinite,
rhinopharyngite. ainsi que d'autres de la sphère pulmonaire (emphysème par
exemple) par son effet spasmolytique. On l'utilise aussi pour l'asthme ou le
rhume des foins.
Antiseptique et antifongique, il a une action sur les affections buccales
et dentaires (mauvaise haleine, stomatite, aphtes, gingivite) et il soulage les
inflammations de la sphère buccopharyngée, caries, soins dentaires divers, sous
forme de bains de bouche.
Il diminue les sécrétions nasales ou rhinorrhées.
Il a en outre des vertus spasmolytiques et va soulager les dérèglements
intestinaux tels que diarrhée, ballonnements, flatulences, colopathies
diverses.
En externe, on peut l’utiliser sur de nombreuses pathologies
dermatologiques. Ses vertus antivirales, antimicrobiennes et antiseptiques sont
mises à profit dans le traitement des mycoses, des plaies, de la gale, de
l'herpès et, globalement, d'un large panel d'affections cutanées (dermatite,
couperose, varicelle, mycoses, plaies, piqûres d'insectes, pédiculose) allant
jusqu'au zona.
Enfin, depuis quelques décennies, les propriétés antivieillissement et
antioxydantes du thym ont été mises en avant par les scientifiques.
Alors n’hésitez pas, mettez du thym dans vos jardins et jardinières…
MA CURE D'HERPÈS AVEC DES RÉSULTATS NÉGATIFS.
RépondreSupprimerPrenez votre temps pour lire mon article sur la façon dont j'ai surmonté le virus de l'herpès si facilement, je viens de New York, aux États-Unis. Je vois habituellement mon épidémie 3-4 semaines plus tard. Mon ami m'a présenté à un phytothérapeute qui guérit le virus de l'herpès et j'en ai été témoin moi-même. (email du médecin.. (usmandrhazim@gmail.com) cela fait 2 ans que je me suis remis de ce virus, plus d'épidémies, plus de symptômes de virus de l'herpès, je suis tellement heureuse d'avoir rencontré des personnes guéries et j'ai lu leur témoignage, après en prenant la phytothérapie je suis allé voir mon médecin pour vérifier si j'étais totalement négatif, il m'a confirmé que je suis 100% négatif pour le virus.Il est difficile de croire que j'ai été guéri de l'herpès.Avec la phytothérapie du Dr Hazim j'ai été testé négatif. Après avoir utilisé la phytothérapie je suis allé dans plusieurs laboratoires pour un test sanguin et le résultat était le même, herpès négatif, est-il possible que j'aie été guéri ?Parce que je pensais que ce n'était pas un remède, je suis tellement content du résultat que j'ai obtenu aujourd'hui. Je me sens bien, vous pouvez aussi le contacter pour un traitement.. Aucune douleur et mon résultat est négatif f après avoir utilisé le médicament de photothérapie Dr Hazim. Il est vrai qu'ils disent qu'il n'y a pas de problème avec une solution. contactez le grand médecin pour un guérison complète de tout type de virus et de maladie, son adresse e-mail .. ( usmandrhazim@gmail.com) Whatsapp / appelez le +2349058026857