samedi 26 septembre 2020

Sommes-nous prêts?

Voici un texte que Bernard de Montréal a laissé à notre Humanité...

Cela consiste à la période actuelle..... (B.de Mtl La Genèse du réel)

 Sommes nous prêts ?


La fin du cycle involutif coïncidera avec une manifestation de très grande puissance manipulative contre l’homme, d’ordre psychologique et psychique. Dans un même temps, la descente d’une nouvelle conscience mettra fin au règne de l’astral sur le globe. Cette époque sera parmi les plus difficiles dans les annales de l’histoire, puisque l’humanité se verra totalement dépouillée de moyens pour vaincre ce pouvoir qui s’attaque à elle sous toutes les formes imaginables d’influences. Celui-ci utilise autant les forces cérémoniales de la magie noire que les forces rituelles de la psychose et la névrose, jusqu’au point ultime où l’homme perdra contact avec sa personnalité.

Derrière cette massive confrontation de l’homme avec lui-même se cache la dernière tentative de récupération, par les plans de la mort, d’une plus grande portion possible de l’humanité, dans le but de s’assurer une continuité d’évolution sur les plans où ces forces sont actives. L’homme inconscient ne se rendra pas compte du processus en cours. Son ignorance des lois occultes de la vie le privera de cette connaissance interne que seule sa propre lumière pourrait lui fournir. L’époque qui suivra la fin du cycle marquera aussi la fin de cette intimidation à l’échelle mondiale. Mais la période qui mettra fin au cycle présent sera virtuellement une manifestation agressive de l’astral, et l’homme pourra s’attendre à toute éventualité, même à ce qui pourrait blesser le plus sa sensibilité. Rien ne sera épargné qui lui soit pénible, et ce sera de cette massive astralisation de la conscience planétaire que naîtra l’homme nouveau. (P. 173)

Il existe présentement sur terre des hommes qui, sans s’en rendre compte, alors que d’autres en sont pleinement conscients, sont des adeptes de l’astral sur le plan matériel. Ce sont des êtres pour qui la domination, sous tous ses aspects, excluent la bonne volonté, ou la possibilité d’en reconnaître une. Ces êtres sont des adeptes de l’astral et représentent des forces involutives de grande puissance, que seul l’homme nouveau pourra combattre. Ces adeptes de l’astral témoigneront d’une intelligence supérieure, au centre froid et sans chaleur humaine. Ils seront identifiables par l’homme nouveau, mais difficilement identifiables par des êtres naïfs et inconscients. À la fin du cycle, ils seront utilisés pour créer, à différents niveaux de la réalité sociale, le chaos que l’humanité devra vivre avant que ne descende, sur le plan matériel, les forces de la Régence planétaire, suivies des civilisations d’outre-espace. Les adeptes de l’astral rempliront un rôle qu’ils ne comprendront pas, à l’exception de ceux qui démontreront une conscience occulte avancée de leur lien avec l’astral ; il en sera ainsi pour les adeptes voués à la magie noire ou à des formes parallèles de machinations et de pouvoirs contre l’homme.

Les adeptes de l’astral nourriront des appétits de plus en plus opposés aux grands principes civilisateurs de l’involution ; ils verront dans leurs actions une mesure de leurs droits et de leurs pouvoirs. Les gouvernements deviendront impuissants devant le renouvellement de ces puissances destructives, car celles-ci utiliseront les lois que les gouvernements faibles, par le passé, auront créées pour leur protection. Ceux qui gouvernent ne pourront sévir contre ces êtres, car déjà la protection de leurs actes aura été sanctionnée par la dilution de plus en plus grande de l’autorité légale et de l’intelligence législative. Sur la scène internationale les plus importants seront facilement reconnaissables par leurs perversions psychologiques et psychiques. Néanmoins, d’autres leur seront fidèles jusqu’à la mort, ne voyant en eux que des héros. Les adeptes de l’astral feront trembler les gouvernements qui auront à leur tête des chefs impuissants et peu doués d’esprit, sans force dans l’intelligence.

Bernard DeMontreal. La genèse du réel.

 

 

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